Le don de soi - Histoires de Sexe

Le don de soi

... avait quitté son visage pour prendre la sienne. Je ne voulais pas que ses caresses au travers de mon pantalon ne me fassent venir trop tôt. Elle était vraiment trop belle pour que j’y résiste longtemps. — Alors, je suppose que l’existence même de mon soutien-gorge, même sans bretelles, ne peut être que de nature à gêner votre imaginaire ! Son sourire était tellement complice que j’en fus surpris. — Je crois que tu as tout compris. J’étais surpris qu’elle participe aussi rapidement à mes fantasmes. Lentement j’abandonnai son ventre et la fis pivoter sur elle-même. Avant de m’attaquer à l’ignoble objet, je m’autorisai une escapade sous sa robe et sur ses fesses nues. — Ne crois pas que je n’aime pas te toucher, bien sûr. Mais il faut que tu comprennes que l’idée de pouvoir le faire est aussi excitante, si ce n’est plus, que l’acte lui-même Ce disant, je glissais sur sa raie et remontais vers la fermeture du soutien-gorge qui, comprenant que tout espoir était perdu, ne résista pas une seconde. Je libérai donc ces seins juvéniles et quasiment parfaits, selon moi. Stimulés par les plaisirs déjà offerts par cette soirée, ils étaient fiers et dressés, prêts au combat. Leurs aréoles assez larges étaient surmontées de tétons bien ronds et déjà un peu proéminents. Ne pouvant trop les caresser ouvertement, je me contentai de les regarder par-dessus l’épaule de leur propriétaire. J’étais surtout ravi de constater qu’ils occupaient sous la robe une place bien plus en accord avec leur ...

... beauté. Décidément, ces soutiens-gorge sans bretelles sont des crimes contre l’humanité. Une fois allégée de cette contrainte inacceptable, Julie se retourna vers moi, les yeux encore plus brillants, mais un peu incertaine tout de même. — Je dois dire que c’est une impression étrange. Je crois bien que c’est quand même un peu gênant. Je suis complètement nue maintenant. En tout cas, j’ai l’impression d’être nue… bien qu’habillée ! J’ai l’impression d’être vulnérable, que tout le monde pourrait voir au travers de ma robe, me pénétrer, me violer ! Les termes étaient forts mais le ton était doux. Ses mains se posèrent sur son ventre. Mes doigts de nouveau retrouvèrent son corps pour frôler ses tétons à travers le tissu. Elle était si belle… La jouissance avait détendu sa jeune arrogance. Toute sa silhouette avait gagné en féminité et en rondeur. Ses lèvres étaient humides des baisers qu’elle avait prodigués à mes doigts. J’avais très envie d’elle… — Nous allons retourner sur la terrasse et dans un petit moment tu iras dans ta chambre. Puis je te rejoindrai et tu pourras enfin me montrer tes talents véritables. Tu n’as rien à craindre, ta beauté est un rempart bien plus puissant que tu ne crois. Et puis, je suis là.— Je préférerais éviter la terrasse ainsi vêtue… ou dévêtue plutôt, me dit-elle, toujours un peu gênée.— Tu renonces déjà ! Tu n’as donc guère suivi mes propos, belle demoiselle, dis-je pour la piquer au vif. Tes caresses seront savantes et enthousiastes, je n’en doute pas ...