1. Nouveau parloir


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, ff, couple, extracon, voisins, copains, fépilée, fsoumise, fdomine, humilié(e), noculotte, rasage, Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, jouet, uro, init, fsoumisaf,

    C’est seule que je me réveillai. J’avais le corps engourdi, l’esprit nébuleux. Ma nudité vint me rappeler les coups de langue et les caresses anales de Muriel, durant la nuit. Mais, pour l’heure, je n’étais pas en mesure de faire le bilan des événements. Ni celui des sentiments. Il était beaucoup trop tôt. La journée précédente avait été riche, trop riche en sensations : une fellation complète pratiquée à mon mari dans l’enceinte de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, suivie de jeux de langues avec ma meilleure amie et voisine. Il y avait eu là trop d’émotions pour la femme pudique que j’étais. Car en une journée, j’en avais fait plus que lors de dix années de pratiques sexuelles : boire le sperme de Franck et offrir ma virginité anale, à une femme de surcroît ; en bref, des jeux que je considérais jusqu’alors contre-nature. Ce qui me chagrinait, en vérité, c’était l’absence de Muriel. Je ne supportais plus la solitude. Je me levai, me préparai un grand café, puis allai prendre ma douche. J’osai, sous le jet d’eau, passer mes doigts sur ma rondelle. Mais aucune douleur n’était perceptible. À croire que le doigté anal n’était qu’un cauchemar. Un rêve plutôt, car, malgré des sentiments ambigus, je me souvenais parfaitement avoir longuement joui sous les coups de langue et les caresses digitales. Les paroles de Muriel revenaient frapper mes oreilles également. « La prochaine fois, je t’enculerai », avait-elle déclaré de manière vulgaire, rompant avec ses manières de petite ...
    ... fille modèle. Désirait-elle vraiment qu’il y ait une suite ? Désirait-elle vraiment me défoncer le cul ? Je me rassurais maintenant en pensant que ces propos n’étaient que le fruit de la folle étreinte qui nous avait unies durant une heure. Rien de plus. Car pour moi, même si l’expérience avait été agréable, elle n’en était pas moins troublante. Et surtout, j’aimais Franck, et n’entendais n’avoir ni amant, ni maîtresse. Mais je ne voulais pas la perdre. Muriel m’était très chère. Plus qu’une confidente, elle était devenue une compagne de douleur, une mère pour moi. Je finis par m’habiller. Tailleur strict, comme d’habitude lorsque je me rendais au travail. Car, malgré la douce mélancolie de ma solitude, il fallait bien que j’aille gagner ma croûte. D’autant que Franck n’était plus là pour participer à l’enrichissement du patrimoine. Je passais ma matinée à prendre connaissance de curricula vitae de personnes désirant intégrer notre boîte de publicité. Mais aucune des lettres de motivation ne m’inspirait. Pire, je perdais le fil de ma lecture une phrase sur deux. J’étais réellement perturbée par mes dernières aventures. Toutes mes pensées, en fait, se portaient vers Muriel. Finalement, je l’appelai, quitte à la déranger sur son lieu de travail. Mais j’eus droit à sa messagerie comme réponse. Tant pis, j’allais rappeler un peu plus tard. Force est de penser que je désirais véritablement la contacter. Car je dus chercher à la joindre une bonne dizaine de fois dans la journée, lui ...
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