1. Nouveau parloir


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, ff, couple, extracon, voisins, copains, fépilée, fsoumise, fdomine, humilié(e), noculotte, rasage, Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, jouet, uro, init, fsoumisaf,

    ... aussitôt, mais je répondis, tant bien que mal à la fougue de son baiser tandis que la porte d’entrée n’était pas complètement refermée. — Tu es à moi désormais, lança-t-elle entre deux baisers. Elle me bouffait littéralement la bouche, me mordait la langue, m’aspirait les lèvres. Je n’en pouvais plus de ce traitement, mais ne put m’empêcher de caresser son visage, de saisir ses longs cheveux, de lui malaxer les seins. Toute ma détresse, d’un coup, disparaissait. À quel prix ? Elle m’avait giflée, montrant ainsi l’ascendant qu’elle entendait dorénavant m’imposer. Surtout, je ne pouvais plus me défaire des liens qu’elle voulait sceller avec moi. Je devenais sa maîtresse, son élève, son objet. Ça me faisait peur, mais j’en avais besoin. Besoin de me sentir protégée, sécurisée, cajolée, aimée. Et de l’amour, elle en avait à revendre. Elle me bascula sur le sofa, me souleva mon tee-shirt avant d’arracher l’accroche de mon soutien-gorge pour me dévorer les tétons, qu’elle mordilla longuement, les tirant, les aspirant, les pinçant à coups de dents. J’avais mal d’une douleur qui me ramenait à la vie. Puis elle s’occupa de ma nuque, la léchant dans tous les sens. Je frissonnais de bonheur, de la peur de ce qui allait suivre. Comme la première fois, nous nous retrouvâmes dans mon lit. Avec la lumière du jour, cette fois-ci. Je n’osais pourtant l’observer, de peur d’y voir la diablesse qui la possédait. À nouveau elle me chevaucha, frottant son pubis bombé contre mes fesses. Je ne ...
    ... bougeais plus. Mes mains agrippaient les angles du matelas pour m’accrocher, telle une survivante s’arrimant à un radeau dans une mer déchaînée. Puis elle me retourna et vint placer sa chatte sur mon visage. Je n’avais d’autre choix que la soumission. Je ne pouvais lui résister. Cette femme, de trois ans ma cadette, devenait, du coup, ma dominante. Pas d’ordre, mais la posture était claire. Sans les mots, elle me faisait comprendre qu’il fallait que je sorte la langue. Si, lors de notre première relation, je m’étais contentée de subir ses doux outrages, cette fois-ci ma participation était fortement réclamée. J’obtempérai aussitôt. Ses cuisses ne me laissaient que peu d’espace mais, rapidement, je trouvai mon chemin. Son abricot était là à quelques centimètres de ma bouche, au milieu d’un parterre de poils courts et doux. Je n’eus qu’à sortir la langue pour l’effleurer. Au toucher, je reconnus les grandes lèvres, puis, plus bas, un clitoris me paraissant énorme. C’est lui que je pris en bouche en premier, le suçotant et l’aspirant du mieux que je pus. Les soupirs et les pressions de Muriel me firent comprendre que j’étais sur la bonne voie. Ma sucette n’était pas désagréable du tout, à ma grande surprise. Le sexe de mon amante sentait bon, il m’étourdissait même. D’un geste du bassin, Muriel se redressa de quelques centimètres. Ses désirs étaient des ordres, je m’attaquai sitôt à son puits d’amour, léchant avidement toutes ses sécrétions à grands coups de langue. Elle ne resta pas ...
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