Nouveau parloir
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
ff,
couple,
extracon,
voisins,
copains,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
noculotte,
rasage,
Oral
69,
fgode,
fdanus,
fsodo,
jouet,
uro,
init,
fsoumisaf,
... inactive. Outre ses coups de reins qui lui permettaient parfois de s’empaler sur la pointe de mon menton, elle fourra ses doigts dans ma chatte trempée. Elle glissa deux phalanges de l’index et du majeur. Puis l’annulaire vint rejoindre ses deux complices. Elle me graissait de mouille, et je la soupçonnais de s’en abreuver lorsque je sentais sa main abandonner mon entrejambe. Puis elle chercha à atteindre mon anus. Nos postures ne le lui permirent pas. C’est en me libérant de l’étreinte que je croisai son regard, enfin. Son sourire en disait long. D’initiative, je me retournai pour me replacer à plat ventre. Je savais désormais ce qu’elle désirait. Je ne pouvais lui résister. Elle descendit à califourchon sur l’arrière de mes cuisses et entreprit d’alterner coups de doigts et de langue dans mon œillet. — Suce ! m’ordonna-t-elle en portant à hauteur de mes lèvres l’index qui me massait la rondelle quelques instants auparavant. Je crevais d’envie de la satisfaire, de lui obéir. Je n’étais plus à une coquinerie près. Son doigt, visqueux, avait une légère odeur de tourbe et de mouille. Curieusement, je pris du plaisir à me goûter, suçant avidement et sensuellement l’index jusqu’au bout de l’ongle. — À toi, maintenant. Baise-moi le cul ! Ça non plus, je ne l’avais jamais fait. Muriel se mit à quatre pattes, écartant de ses mains le fessier. Son rectum était là, à dix centimètres de moi. Tout doucement je m’approchai. Pas d’odeur particulière, pas de traces, elle avait le cul ...
... propre. J’y pointai le bout de ma langue, ce qui la fit frémir aussitôt. Puis tentai de forcer la porte. Mais elle ne cédait pas. Je pris du recul. Muriel se retourna légèrement, se demandant ce que je trafiquais. Puis je revins, aidée de mes mains écartant les lobes de son cul, et, à grands coups de langue, humidifiai sa rondelle. Au bout de deux minutes de ce traitement qui la rendait folle, je retentai une intrusion. Ma langue progressa enfin, de quelques millimètres, pour son plaisir. — Ton doigt ! Mets-moi un doigt ! Sitôt j’obéis. Elle s’électrisa instantanément. L’élasticité de son anus m’étonnait. Je ressortis l’index pour y glisser mon pouce, faisant attention à ne pas la griffer. Elle en voulait, j’allais lui en donner. Je démarrai un long va-et-vient, ponctué de pressions sur les parois intérieures du sphincter. Elle jouissait, en redemandait, je la baisais à l’aide mon pouce qui pouvait s’apparenter à une petite bite. Puis je sentis les contractions, après cinq bonnes minutes. J’avais le poignet courbaturé. Muriel s’effondra, une phalange de mon pouce toujours accroché à son cul. Nous finîmes dans les bras l’une de l’autre, à nous embrasser goulûment et nous caresser. Nous quittâmes les draps vers le milieu de l’après-midi. C’est pendant que je préparais un bon café, qu’elle rédigea le courrier que je devais recopier pour Franck. Le phantasme concocté par Muriel était beaucoup plus compliqué à réaliser que le premier. Pour moi, en tout cas. Muriel était folle. Je n’en ...