Nouveau parloir
Datte: 14/08/2017,
Catégories:
fh,
ff,
couple,
extracon,
voisins,
copains,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
noculotte,
rasage,
Oral
69,
fgode,
fdanus,
fsodo,
jouet,
uro,
init,
fsoumisaf,
... revenais pas. J’étais bien incapable de faire la moitié de ce qu’elle avait imaginé. Mes phantasmes n’étaient pas les siens. Il était inconcevable que je m’habille comme une salope pour aller visiter Franck, ou encore que je me rase la chatte. Surtout, accueillir le mandrin de mon chéri dans le cul semblait insensé. — Tu verras que tu y arriveras, me dit-elle pour mieux me persuader. Dès ce soir, on se met au travail. Muriel s’absenta en fin de journée. Une heure lui suffit pour revenir munie d’un grand sac. Je fus stupéfaite de découvrir ce qui s’y cachait : une minijupe noire et une veste étroite de la même couleur, en cuir, et une paire d’escarpins à hauts talons. Elle n’avait pas lésiné sur les moyens. À vue d’œil, il y en avait au moins pour trois cents euros. Nul doute qu’elle entendait me vêtir de la sorte pour que je rende visite à Franck. Au fond de la sacoche se trouvait également un emballage en plastique dont le contenu, rose, m’était étranger. — C’est quoi, ça ? demandai-je, curieuse.— Un plug.— Un plug ? Ça sert à quoi ?— Sois patiente, chaque chose en son temps. Elle passa aux choses sérieuses après dîner. — Déshabille-toi ! ordonna-t-elle après s’être saisie d’une paire de ciseaux, de mousse à raser et d’un rasoir. Sitôt, j’obtempérai. La séance de rasage, en elle-même, ne m’inquiétait pas vraiment, au contraire. Muriel m’allongea de tout mon long sur la table du salon avant de m’écarter les jambes. Longtemps elle chercha la position adéquate. Finalement, ...
... après avoir disposé une bassine d’eau tiède et un gant de toilette à l’intérieur de mon entrejambe, elle grimpa elle aussi sur la table en chêne massif, à califourchon sur mon ventre, dos à mes seins gonflés d’inquiétude, de manière à s’occuper de mon pubis. Puis elle débuta, élaguant au maximum ma toison avec les ciseaux. Longuement, ensuite, elle appliqua la mousse à raser sur mon pubis, caressant, imprégnant chaque centimètre carré par des gestes circulaires. Délicatement, elle se mit à glisser la lame sur ma peau. Tout mon corps en fut parcouru d’un frisson. Mais ses gestes étaient doux, délicats. Je retrouvais la Muriel tendre, la voisine et amie avenante. Je n’en avais pas moins le sexe en feu. Car les mouvements de rasoir à hauteur de mon jardin secret me troublaient au plus profond de moi. Je sentais ma peau se dénuder à grands coups de sape, devenant du même coup fontaine pour mieux éteindre l’incendie qui me ravageait. D’un coup de gant humidifié, Muriel me nettoya. Puis son manège reprit, un peu plus loin, aux abords de mes grandes lèvres. D’une main experte elle rasait, de l’autre elle protégeait mes chairs. Je jouissais à chaque coup de lame, osant même presser mon fessier contre le bois de la table et porter mes mains sur mes seins congestionnés dans leur soutien-gorge. Une nouvelle fois elle frotta le gant mouillé contre mon sexe, longtemps, pour mieux le laver des poils et traces de mousse à raser. Soudain, je sentis ses doigts, à travers le tissu, venir parcourir ...