1. Nouveau parloir


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, ff, couple, extracon, voisins, copains, fépilée, fsoumise, fdomine, humilié(e), noculotte, rasage, Oral 69, fgode, fdanus, fsodo, jouet, uro, init, fsoumisaf,

    ... Telle une camée, j’étais prise de spasmes internes, d’une jouissance extrême m’empêchant de me reprendre. Muriel, à côté, comprit. Satisfaite de son travail, elle souriait de cette complicité lubrique. Jamais, au grand jamais, je n’avais connu une telle extase. — Je pense que t’es prête, me lança-t-elle. *** Le regard que me porta le personnel pénitentiaire était sans équivoque. J’étais habillée comme une pute, ils me considérèrent donc comme telle, tous les matons et autres visiteurs étant obnubilés par mon cul moulé dans une mini-jupe ultra serrée et bombé par l’effet de talons aiguilles qui rendaient mon équilibre précaire. Je n’étais plus à un sacrifice près. Muriel, qui avait décidé de m’accompagner en voiture à Fleury-Mérogis, avait tenté de me rassurer en déclarant que dans cette tenue, je ne risquais pas de faire biper le portique de sécurité. Après tout, les regards inquisiteurs d’hommes que je n’étais pas amenée à revoir m’étaient indifférents. Mais le bruit de mes escarpins sur le sol dallé du couloir nous menant aux parloirs me rappelait sans cesse que j’étais nue et rasée sous ma jupe. Comme la semaine passée, Franck m’attendait assis sur une chaise. Avait-il reçu la dernière lettre ? Je n’en étais pas sûre. Le maton referma la porte après mon passage, et sitôt, je vins me coller à lui. Il resta assis, se mettant à pleurer à chaudes larmes contre le cuir de ma minijupe, ses mains se saisissant de mes fesses. — Dessous, lui soufflai-je, glisse-les dessous. Il ...
    ... obtempéra aussitôt. Il plongea aussitôt ses mains sur mon cul, à même la peau, et nota l’absence de slip. Maladroitement, il tenta de vérifier l’état de mon pubis. C’est à ce moment-là, incontestablement, que je compris qu’il avait lu le courrier que Muriel lui avait concocté. Plus que jamais décidée, je m’écartai de lui, et comme indiqué dans la lettre, allai me réfugier dans un coin de la salle, les mains posées sur le mur d’angle, et le cul cambré, offert comme jamais. J’entendis aussitôt la glissière de sa combinaison tandis que je regardais fixement devant moi. J’avais honte de ma posture, et surtout, n’étais aucunement excitée comme je l’avais été la semaine précédente. Il s’approcha, souleva brusquement ma jupe jusqu’à la taille, chercha un peu plus à m’écarter les fesses et glissa son sexe que je sentis dur et humide. D’emblée il chercha à me pénétrer. En vain. — Encule-moi, osai-je alors que je sentais qu’il se serait bien satisfait d’une bonne levrette. Je voulais aller au bout, en finir avec ça. Je m’y étais engagée, il fallait que je souffre, pour le plaisir de mon mari. Il reprit sa tige dans la main et pointa le gland contre mon petit trou avant de forcer la porte. Moins large mais plus longue que le plug, sa bite trouva rapidement son chemin dans mon conduit. J’étais à la fois heureuse de le satisfaire, et triste de ne pas ressentir la même jouissance que Muriel m’avait fait découvrir. Je me sentais surtout envahie, puis labourée lorsque Franck se mit à me ...
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