Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (4)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Hétéro
Le lendemain matin je pars bosser. Dans la chambre contiguë à la mienne, elle dort encore. Je la vois en passant puisque sa porte est restée ouverte. Elle dort à poil, son corps à moitié découvert par le drap. Je ne la réveille pas, la laisse roupiller cette feignasse. Elle a de la chance, je ne suis pas du matin. Et je n’ai pas trop de temps. Mais bon, si j’avais eu envie, je lui aurais fourré ma queue dans la bouche pour qu’elle la suce bien et lui redonne de la vigueur, tout en lui enfonçant un doigt dans le cul. Elle est là, disponible, offerte, pourquoi me priver ? Et elle doit payer sa pension. Mais j’ai un peu mal à la bite, à force de l’avoir défoncée par tous les trous hier. Elle ne perd rien pour attendre. On verra ce soir, ou demain. Vers dix-huit heures je rentre du taf. Elle est à la maison, je constate avec ravissement qu’elle n’a pas bougé de chez moi, et qui plus est, elle s’est faite belle. Elle est bien coiffée, bien maquillée. Elle arbore une tenue plaisante (un pull coloré et une jupe en toile qui lui arrive au genou) et porte des chaussures d’été à talons, très jolies. En même temps, elle a dû en profiter pour se prélasser, ne rien glander. En effet, elle a regardé la télé, lu quelques revues, et s’est empiffré : ma réserve de mes meilleurs cookies a descendu sérieusement. Elle peut toujours parler sans arrêt de régime, il y a loin de la coupe aux lèvres. Bon, je me dis, elle a repris des forces, elle a raison. Elle va en avoir besoin. Elle me confirme ...
... qu’elle n’a rien fait (j’avais deviné) mais que demain elle a des démarches administratives à faire, des gens qu’elle doit voir. Elle va partir pour la journée. Je me dis qu’elle va trouver quelqu’un chez qui se faire inviter pour déjeuner, cette pique-assiette. Evidemment, elle n’a même pas fait un brin de ménage, n’a rien préparé pour le dîner (même s’il y avait tout ce qu’il fallait dans le frigo), et même pas mis la table. Je doute même qu’elle m’aide ce soir, mais je suis sans doute mauvaise langue. Enfin, je suis de bonne humeur. Je ne me plains pas. Après tout, elle sait comment elle doit payer son séjour, elle a compris le deal et tient à en rester là. Ça lui convient finalement. Elle n’a pas l’intention d’en faire plus. Donner son cul ça doit lui aller, ça n’est pas trop fatiguant, et en plus, elle y trouve son compte. Elle ne m’a pas sauté au cou - faut pas rêver - mais elle m’a quand même accueilli en m’embrassant. Pas avec une bise sur la bouche, non, mais en me roulant carrément une pelle. On dirait que ça commence à lui plaire. C’est agréable même si ça me donne l’impression troublante qu’on est tous les deux en couple. Oui bah ça, jamais. Cinq jours à la tringler, c’est bien, mais c’est suffisant. En fait, je suis crevé. Et il faut me mettre à faire le dîner. Pas question de compter sur son aide. Je m’y mets, et commence à préparer le repas. Je suis mauvaise langue, elle met la table, m’aide sans que je lui demande quoi que ce soit. Elle me raconte sa journée, je ...