1. Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (4)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... chaque côté de moi, me colle son ventre contre mes fesses, ainsi que ses nichons pulpeux qu’elle presse doucement contre mon dos. Je sens son souffle, son visage est tout près de mon cou. « - Elles sont bonnes...? — Je ne sais pas je les ai pas encore goûtées... » Du bout de ses doigts fins, aux ongles soignés et vernis de frais, elle a saisi délicatement une fraise encore entière, entrouvre ses lèvres et très lentement, comme au ralenti, elle l’introduit dans sa petite bouche si bien dessinée comme si elle allait la sucer. Elle arrondit sa bouche au maximum - on dirait la photo d’une pub - je vois ses beaux yeux gris-verts qui brillent, à demi fermés, comme elle seule sait le faire. C’est un monstre de sensualité. Elle sait bien jouer d’autres rôles que celui de la parfaite conne immature. La fraise disparaît totalement entre ses lèvres puis ressort, re-rentre à nouveau pour ressortir à moitié : enfin elle mord du bout de ses incisives dedans et me met le fruit ainsi amputé sur les lèvres que fatalement j’aspire. Elle sait y faire avec moi. Je vois ses mâchoires bouger lentement, elle écrase sur son palais le bout de fraise avec dans les yeux un air gourmand. J’en fais de même. J’acquiesce du chef : « - Hum, est elle bonne... — Oui » approuve-t-elle d’une voix feutrée, « et si fraîche... » Evidemment elle me donne sa bouche que je ne refuse pas. Elle est encore toute sucrée du fruit, sa langue glisse dans la mienne ; je suce cet autre fruit frais et délicieux. Ses bras ...
    ... sont passés autour de mon cou, je l’enlace de mon bras libre. On dirait qu’elle a repris goût aux activités sexuelles (avec un homme, du moins, je ne sais pas ce qu’elle a fait toute seule depuis des années) et que ça a réveillé sa libido. Si ça continue, elle va finir par être insatiable. Tout en la galochant, je me demande si elle a envie de manger ses fraises avec de la crème, ma crème je veux dire. J’ai fini par lâcher mon couteau, la moitié des fraises seulement sont coupées. Ma main droite va directe au petit renflement entre ses cuisses, puis trouve rapidement un passage entre son ventre et sa jupe, puis sous le slip et mes doigts glissent dans sa fente que je trouve déjà toute mouillée. Deux de mes doigts jouent un ballet endiablé entre ses fines lèvres sexuelles, descendent jusqu’à l’orifice de sa conque, s’y engouffrent et commencent à la fouiller avec passion : elle se met à geindre tandis que je lui suce la langue. Je lâche sa bouche, ressors mes doigts : ils sont tout luisants de sa sève. Je prends une fraise encore intacte et l’enduis de cette liqueur translucide et brillante, puis la mets entière dans ma bouche. Je la savoure tout en regardant les yeux de Patricia qui commencent à rouler d’excitation, comme affolés, puis lui dis, bien dans les yeux : « - Hum, moi c’est comme ça que je les préfère ! » Elle est comme pétrifiée, un sourire figé un peu stupide sur les lèvres, terriblement troublée. Etonnée comme si elle ne savait pas qu’on pouvait inventer des jeux ...