Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (4)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Hétéro
... la trouve très volubile, presque enjouée. Bien entendu elle ne me demande pas comment s’est passée la mienne. Pas dans ses habitudes de s’enquérir des autres, ça le je sais. Mais elle est souriante, semble très en forme, elle chantonne presque. Je vais bientôt servir le repas, elle est appuyée le dos contre la table, me regarde avec un air charmeur. Elle a son sourire énigmatique, des faux airs de Maria Pacôme (enfin, quand elle était jeune), j’ai l’impression qu’elle est en train de me faire son grand numéro de charme, de séductrice ; elle sait qu’elle me plait physiquement, elle en joue, c’est sûr. Je pose un saladier sur la table, tout près de l’endroit où elle se trouve. Elle m’agrippe au passage, avec un geste langoureux, m’attrape le cou, m’attire à elle. Elle me roule à nouveau une pelle. Je la prends par la taille, automatiquement. Le patin s’éternise, elle se love contre moi, ondule, fait durer ; son baiser est vraiment passionné. Ma main descend et lui palpe les fesses, je la sens frissonner ; ma main arrive à passer sous la ceinture, et même sous le slip, je lui pelote ses fesses nues, elle ne se plaint pas. Je retire ma main et je remonte sa jupe tout en continuant à la galocher. Je plaque ma main sur son mont de Vénus bien renflé et je commence à le malaxer à travers le fin tissu : elle se met à gémir. Mais elle est train d’y prendre goût, la garce ! Je me détache d’elle d’un coup : « merde, ça va cramer. » Ça n’est pas qu’un prétexte, ça va vraiment arriver ...
... si je n’enlève pas mon poêlon du feu. Je nous sers le plat, elle s’assoit ravie, me fait même des compliments. Mais je perçois dans son il qui s’est allumé et un sourire inhabituel qu’elle a des idées derrière la tête. Moi qui ai eu mon compte hier, je suis presque pris à mon propre piège. Nous dînons lentement, je prends mon temps pour faire suivre les plats. Je compte sur sa fatigue. Mais la salope n’est plus franchement fatiguée : elle a pu se prélasser au lit toute la matinée. J’aurais mieux fait de la réveiller en me levant et de la sauter encore ensommeillée. Mais objectivement, je n’avais pas le temps, dommage. Maintenant c’est moi qui suis rincé. Pour le dessert j’ai prévu des fraises à la chantilly. Je fais d’abord la chantilly en versant la crème liquide dans le robot. Elle est restée assise à table. Quand je jette un coup d’il derrière mon épaule, je vois qu’elle me regarde avec un air sensuel, presque lubrique. Merde, je n’aurais pas dû la regarder, elle a dû prendre ça pour une invite, ça l’a attirée. Elle se lève nonchalamment. Moi j’ai sorti les fraises, les lave et commence à les équeuter. (Pour l’heure c’est moi qui ai l’impression d’être un peu équeuté...) Elle est déjà derrière moi, se colle à moi, avec la sensualité d’un reptile. Elle me susurre : « - Tu veux que je t’aide...? — Non, non » dis-je de l’air le plus placide possible, « ça va. » Je sens bien qu’une proposition d’aide de cette feignasse ça sent forcément l’embrouille. Elle passe ses mains de ...