Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse (4)
Datte: 05/02/2019,
Catégories:
Hétéro
... sexuels. Je ne me démonte pas et lui dis : « - Enlève ta culotte. Mais sans enlever ta jupe. » vcevbbdr Elle hésite une seconde, mais semble pour une fois bien décidée à me suivre dans mon jeu. Je la vois se contorsionner et descendre sa culotte sans relever sa jupe. La jolie culotte rose en dentelles - elle m’a gâté - tombe sur ses chevilles. Je lui ordonne : « - Donne-la moi. Avec ta jambe. Sans t’aider de tes mains. » Elle sourit. Elle est encore souple. Elle lève son genou, puis la cuisse, amenant finalement son pied encore chaussé à hauteur de ma taille où, là, je daigne me saisir de son sous-vêtement. Je le regarde, le retourne, et constate avec un sourire satisfait qu’il a une petite tâche de mouille. Je le porte à mes narines, renifle avec délectation les effluves sexuelles de Patricia. « - Hum... Tu sens la chienne en chaleur... » Je m’approche d’elle, la prends par la nuque, et lui mets le tissu léger sous le nez : « - Sens. » Elle a un petit mouvement de recul, un peu écuré. « - Ne prends pas cet air dégoûté, ma chérie, je ne vais pas te demander de la lécher. Je ne vais pas t’obliger à goûter à ta cyprine... » Je pose la culotte sur la table. Je passe un bras autour de sa taille, ma main descend vite fait sous la jupe puis remonte, lui palpant ses fesses nues, tandis que l’autre a fait de même par devant, mes doigts retrouvant leur place, bien au chaud entre ses lèvres vulvaires. Tandis que je lui pelote ses belles fesses charnues, je glisse deux doigts dans sa ...
... chatte et commence à lui astiquer le point G, d’abord lascivement, puis vigoureusement. Ma bouche a repris sa bouche, je la gamelle avec fougue, elle geint, pousse des petits cris étouffés puisque ma langue la bâillonne efficacement. Je laisse sa bouche pour lui dire : « - Reste là. Ne bouge pas. » Je vais au frigo, je prends une belle carotte. Ma main gauche reprend sa place sous sa jupe et sur ses fesses, de l’autre je guide la carotte jusqu’à ce que je trouve l’entrée de sa conque. Et je commence à lui enfiler, doucement. Puis de plus en plus vite et de plus en plus loin je lui gode la chatte avec la racine ferme. Je la regarde dans les yeux, ses beaux yeux verts qui palissent, j’embrasse ses joues, les bords de sa bouche, vicieusement. Elle prend ma bouche, je lui suçote les lèvres, elle se met à haleter. Ma main gauche ne reste pas inactive, elle s’insinue dans son sillon fessier, commence à lui caresser le petit cratère. De la main droite je lui baratte la chatte de plus en plus vite, sa respiration est courte, saccadée. Quand mon majeur gauche force son petit orifice, elle se met à jouir violemment, elle en tremble sur ses jambes ; mon doigt bien planté dans le fond de son trou du cul la maintient debout, sa tête révulsée en arrière lui donne un air éperdu ; on dirait qu’elle est partie. Je finis par retirer mes doigts et la carotte, elle reprend peu à peu ses esprits. Elle me regarde avec un sourire un peu béat, euphorique. Je la mate droit dans les yeux et je croque ...