1. Renaissance pour tous (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fait surgir ton autorité naturelle. Bien que dans ce cas, ce fût presque un inceste si vous aviez été mineurs. Me dit Martine. — Isabelle, voudrais-tu vivre avec nous? Lui demandais-je. — Hein? — Oui, vivre avec nous. Tu sais, j’ai beau me demander pourquoi je suis comme ça, la réponse, c’est Martine. — Écoute, vivre avec vous deux, dans ton appartement, cela me parait difficile sans éveiller les soupçons. — Justement, ta maison est suffisamment éloignée des autres pour nous trois. — Tu me veux comment, en tant que concubine ou, comme pour Martine, soumise. Sache, avant que tu ne me répondes, que j’étais aussi la soumise de mon mari. — Ben ça alors! Je venais de me prendre une seconde claque en pleine poire. Puis, Isabelle se redressa, s’avança vers moi. Elle me prit la main pour m’entrainer là où je n’avais pas été, la porte était fermée. — Tu sais, le garage, vous l’aviez entièrement refait. On t’avait dit que c’était pour en faire une chambre, c’était pour en faire ça. kwfkuuln Devant Martine et moi, la porte s’ouvre sur un donjon tout équipé. Une fois à l’intérieur, je constatais que rien ne manquait. Il y en avait même que je ne connaissais pas, comme l’âne espagnole. Isabelle se mit à nous raconter comment tout avait commencé et l’histoire de cette soumission. Oh, cela n’a pas commencé juste après le mariage, loin de là. Non, c’est après ses trente ans que mon beau-frère a commencé à la soumettre. Ce fut progressif, d’abord par les tenues à mettre, ensuite les ...
    ... positions et enfin, la première punition, révélatrice, à écouter Isabelle, qui la fit jouir comme jamais. Martine était sous le charme de cette grande pièce et insonorisée en plus. On remonta au salon, devant un double scotch, on discuta encore soumission. Isabelle finit par nous avouer que depuis deux mois, elle côtoyait une femme autoritaire dans le cadre de son travail. Sans aller jusqu’à se faire punir par cette femme, sa seule autorité suffisait à mettre ma sœur en trance. En fait, ce n’était qu’une collègue de travail qui en imposait par sa manière d’être. Cependant, Isabelle nous avoua encore qu’elle rêvait de se soumettre à cette femme. — Et si ton frère la remplaçait? — Rémi? Oui, pourquoi pas, vu ce qu’il a réussi à faire de moi. Pendant cette courte discussion, j’étais aux WC, je n’ai donc rien entendu. C’est Martine qui me la rapporta plus tard. — Tu sais, ton frère est un bon Maître. Je l’avoue, il m’a fallu le traiter de couille molle pour le faire réagir. Si je te disais qu’il m’a exhibée presque nue dans le restaurant du Lac. — Quoi, le gastronomique? — Oui ma belle. J’avais une robe un peu comme celle-ci et il m’a déboutonné un bouton sur deux avant de m’obliger de m’assoir en la relevant. -Tu oublies juste que nous avions tiré un coup dans les fourrés un peu avant. ajoutais-je — C’est vrai, Maître, pardonnez à votre chienne cet oubli pourtant si jouissif. — Vas te mettre nue au coin, à genou, le corps bien droit,petite salope. — Rémi...s’il....Ma soeur n’a pas le ...
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