Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mienne. Ce n’est qu’à la pause que je lui répondais, acceptant son invitation. Peu après, elle m’écrivait, me demandant si ce vendredi, j’étais libre pour ce fameux souper. J’ai fait oui. Puis, sortant mon plan de ma poche, je regardais plus attentivement l’adresse. Bon sang de bois, elle habitait dans mon village, à l’autre bout, certes, mais dans mon village. La semaine se terminait, dans mon appartement, je pris le temps d’un bain, moi qui me douche, je prenais un bain. J’avais le temps, celui de me prélasser tranquillement. Enfin, bien habiller, chose particulièrement rare depuis ma dépression, je sautais dans ma voiture, un bouquet de fleur et une bouteille de vin dans un joli sac de papier glacé. Devant chez elle, alors que je stationnais ma voiture, elle est arrivée. À croire que j’étais en avance, elle rentrait des courses. Elle me fit un sourire gêné, je m’empressais de la débarrasser d’un sac. Ensemble, nous sommes montés les trois étages, en ascenseur. Une fois chez elle, elle m’installa dans son salon, très sympa entre nous. "Voudriez-vous boire quelque chose?" "Oh, si vous avez une bière, cela fera très bien l’affaire." "Je vous l’apporte." "Je suis en avance?" "Non, c’est moi qui suis en retard." "Oh!" "La voici." "Merci. c’est sympa chez vous." "J’aime la simplicité et je déteste m’encombrer de chose inutile." "C’est ce que je dois faire chez moi, mais je n’ai pas le courage de tout virer." "Je peux vous aider, si le cœur vous en dit." "Dites, vous saviez que ...
... nous vivions dans le même village?" "Euh non, pourquoi?" Pourquoi je ne l’ai pas crue? "J’habite près de la gare, c’est amusant, vous ne trouvez pas?" "Ah bon, là, oui, c’est drôle. Non, je pensais que vous viviez près de la fondation." "Pas du tout. Ça fait près de 20 ans que je vis ici." "Et moi, à peine trois ans. À vrai dire, je ne connais pas grand monde, je travaille comme commerciale dans la quincaillerie." Autre pieu mensonge "Vous aimez bricoler?" "Je ne peux pas dire le contraire, on me traitait de garçon manqué à l’école, j’étais toujours avec mon père à bricoler, réparer ou construire." "Ça aide, je suis nul de ce côté. Je préfère conduire, c’est mon dada." "Chauffeur?" "Ancien poids lourd, je ne peux plus conduire professionnellement depuis mon opération du cœur." "Oh, infarctus?" "Oui, avec complication. Mais bon, j’ai un boulot et ça me change bien les idées." Parfois, elle s’absentait de courts instants pour surveiller son repas. Puis, elle disparut dans ce qui me semblait être sa chambre. Elle me revint, j’en restais sur le cul. Elle portait une courte robe rouge sang, elle moulait son corps à la perfection, je devinais du lycra. Elle avait, en outre, défait son chignon et ses cheveux tombaient jusque sur ses fesses si parfaitement moulées. Je me suis levé comme s’il s’agissait d’une autre personne. C’est à peine si je la reconnaissais dans cette robe. À ses pieds, elle portait des escarpins à talons haut. À l’estime, je dirais qu’ils devaient bien faire plus ...