Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ressemble à bien des égards. À un moment, le écoutant, cela m’est sorti sans que je n’en sache la raison. — Mets-toi à poil. — Quoi? — Tu te fous à poil, petite sœur et sans perdre de temps. Ma voix était si autoritaire que même Martine hésita à imiter ma sœur. — Regarde, elle te ressemble. Approche, Isabelle. Ne fais pas d’histoire ou je te fesse. Près de nous, je l’assois sur mes cuisses et malaxe son corps comme un boulanger sa pâte. Très vite, ma sœur commence à souffler différemment. Son cœur bat la chamade. Si d’une main je maltraite sa poitrine, l’autre défait les boutons de la robe de Martine. Et, nue toutes les deux, je les pousse l’une contre l’autre. Baisez ensemble, c’est un ordre. J’étais devenu froid comme un glaçon en les regardant se donner l’une à l’autre. Une fois lancée, elles ne se contrôlaient plus, je suis sorti me fumer une cigarette. Dehors, je secouais la tête, me demandant comment j’avais pu faire une chose pareil, donner ma sœur à Martine. Du salon, me parvenaient les clameurs de leurs plaisirs. En me retournant, je pris soudainement conscience que ma sœur possédait une belle villa de deux étages. Certes pas ressentes, mais c’était une belle maison tout de même. Elle possède en outre une grande surface herbeuse et entourée de hauts thuyas pas souvent taillés. En faisant le tour, devant la petite route, je me mis à calculer. Il y avait place pour bien quatre voitures. De retour dans la maison, j’en fis le tour, visitant toutes les pièces, une à une. ...
... D’instinct, je mesurais la surface de chaque chambre, chaque local ou cave, de même au premier. Enfin, sur une feuille de papier, je résumais ma visite très instructive. Dans le salon, mes deux gouines m’attirèrent entre elles. En moins de deux, je fus à poil et profané par mes deux gourgandines. Je me suis laissé faire, surtout quand Martine obligea ma sœur à s’empaler sur ma queue tendue. Ce fut notre moment à tous les deux. Je ne la baisais pas, je lui fis l’amour. Martine se retira du jeu pour mieux nous regarder. Je couchais ma sœur pour mieux l’aimer. Jamais, même si elle était et reste mon idéal féminin, je n’avais rêvé de l’aimer ainsi. Elle se donna à moi comme je me donnais à elle. Pendant le reste de l’après-midi, je l’ai aimée et faite jouir bien des fois avant de me répandre en elle. Elle se mit alors à pleurer à chaude larme. — Je t’aime mon frère, je t’aime mon Rémi. — Je t’aime petite sœur, tu as toujours été ma plus belle. Mais te faire l’amour, jamais cela ne m’avait traversé l’esprit. — Moi non plus, moi non plus. J’ai léché ses larmes, ses baisers étaient doux et terriblement amoureux. Je l’emportais enfin, la douchais, la lavant de partout. Martine se joint à nous au moment de sécher Isabelle, se montrant sous un autre jour. — Tu sais ma belle, je ne pensais pas faire ce que j’ai fait avec vous deux. C’est normal, elle était désemparée, ne sachant pas comment faire et toi, tu as juste fait ce qu’il fallait, comme moi en te traitant de couille molle. Tu as ...