Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... ces anneaux. J’allais m’endormir quand un message me parvenait, de ma sœur. Tout ça pour me dire que mon lit était remonté et prêt. En plus, j’en eus la larme à l’œil, elle me dit qu’elle allait se faire anneler dès la semaine suivante, dans la même boutique que Martine. Permission refusée pour une durée de trois mois. Les trois mois pendant lesquelles je ne pouvais honorer Martine. Je sais qu’elle sera déçue, mais peu m’importe, je veux une femme à baiser et Isabelle se retrouve dans la condition de roue de secoure. Le ton de ma réponse fut ferme et sans appel possible. Punaise, en moins d’une semaine, même au boulot, on avait peine à me reconnaitre. Ma psy, elle-même, me trouvait complètement changer. Je me suis bien gardé de lui dire que j’avais une autre psy et bien plus belle qu’elle et autrement plus désirable. En fait, en suivant les conseils avisés de ma nouvelle psychologue, je jouais au dépressif profond. Taciturne, horripilant, muet, j’étais le pire employé de cette fondation. Martine me prédit qu’en trois mois, l’affaire serait bouclée, mais au niveau de l’assurance et que je serais considéré comme invalide à 100%. Mardi soir, je suis chez ma sœur, nue devant ses vêtements, elle a déjà fait un premier tri. Je fis le suivant, plus sévère qu’elle. Pour commencer, j’écartais pratiquement tous ses pantalons, n’en gardant qu’un pour deux mois à ne mettre que pendant ses menstruations. Ensuite, tous ses vieux soutifs partent pour la poubelle, tout comme ses vieilles ...
... culottes. Je veux du neuf, du sexy, du désirable. Jupe trop longue, poubelle, robe pas sexy et se fermant derrière, poubelle, chaussures sans charme, poubelle. Il lui restait à peine de quoi faire le reste de la semaine. Aussi, j’avais débarqué avec un baise-en-ville. Et le soir même, je m’installais chez ma sœur pour la baiser ou l’aimer, selon mon humeur. Elle se montra bien plus soumise que je ne le pensais. Trois mois plus tard, avec mes chats, Martine et Isabelle, on fêtait notre nouvelle adresse. J’attendais la réponse de l’assurance invalidité et Isabelle était annelée comme Martine. Six mois passèrent, j’étais invalide à 100%, n’avais plus besoin de travailler et avaisdeux femmes qui me faisaient tous mes désirs et prenaient un plaisir à le faire. Ce n’était y pas si longtemps que notre vie à trois commençais, 4 ans, tout au plus. Oh, la collègue de ma sœur, l’autoritaire, Emmanuelle, c’est ma nouvelle épouse, c’est une véritable dominatrice en plus d’être une femme des plus savoureuses au lit. Ce n’est pas nos soumises qui vont vous dire le contraire. Si jamais, on cherche un petit animal de compagnie, du genre masculin, bien monté, bi et docile à souhait. Même s’il est masochiste, ce serait que pur bonheur pour nous. Sans compter que nous avons un grand terrain bien dissimulé, dans un coin éloigné. À bientôt. P.S.: Parfois, avec ma nouvelle épouse, on se demande si on est dans le vrai monde ou si on vit dans un monde imaginaire. Mais en voyant les nouvelles du monde, ...