1. Renaissance pour tous (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de 10 centimètres. La vache, ce qu’elle était belle. J’avoue avoir une certaine raideur entre mes jambes, de celle qui vous font un mal de chien. Près de moi, ses yeux m’arrivaient maintenant à la hauteur de mon nez. Pour un peu, j’aurais aimé les embrasser délicatement. Je me sentais aussi stupide qu’un puceau devant sa première copine nue. Là, pourtant, elle était habillée, mais si tellement belle. En plus de me sentir stupide, je me sentais gauche. Elle me sourit, un sourire si merveilleux que ma main, sans que je ne puisse la contrôler, est venue caresser sa joue. J’ai senti sa tête s’appuyer dans le creux de cette main baladeuse. Sans que j’en fasse davantage, elle s’est collée à moi. Sa bouche près de la mienne, je n’ai pas résisté. Déjà nos corps fusionnaient dans ce baiser volcanique. Ce n’est qu’une odeur de brûler qui interrompit notre baiser. Je la suivais dans sa cuisine. Du four, son rôti avec légèrement noirci, mais pouvait être sauvé. J’ouvrais ma bouteille de vin blanc et l’arrosais copieusement avant de le remettre au four un moment. "Vous cuisinez?" "Bien obligé, je vis seul depuis le départ de ma femme." "Pas d’enfant?" "Si un fils, il travaille à l’étranger. Il ne revient que pour les vacances." Peu après, je sortais le rôti, elle mettait la table. Je découpais la viande, la disposais sur un plat. On passait à table dans sa petite cuisine. L’un à côté de l’autre, je la sentis emprunte d’une certaine gêne, sa courte robe s’était retroussée au moment de ...
    ... s’assoir. Cela me donnait une vue extraordinaire sur sapetite culotte satinée noire. Son visage était cramoisi de cette gêne, voire d’une honte certaine. Je me risquais à poser ma main droite sur cette cuisse si joliment dessinée. Elle me fixa, je lui donnais ce morceau de viande sur ma fourchette. Lentement, elle le prit dans sa bouche. Elle me fit la même chose, le repas se termina là, je l’emportais dans sa chambre. Dans son lit, je pris le temps de la découvrir, sa robe glissa sur son corps. Martine s’abandonnait entre mes mains et ma bouche qui l’embrassait goulument. Au moment de la gouter, sa culotte retirée, ma langue se délecte de sa liqueur d’amour. Les mains de Martine emprisonne ma tête, je la fouille, la bois, la lèche, elle jouit une première fois. Un très long soupir de satisfaction tout droit sorti des profondeurs de son âme. L’orgasme suivant ne fut pas long à venir, ma langue s’était insinuée entre ses fesses, mes doigts la branlaient doucement. Ce fut encore un long et merveilleux soupir de bonheur. Là, elle me supplia de la prendre et je ne le voulais pas, du moins pas maintenant. Ma langue et mes doigts passaient allègrement d’un orifice à l’autre. Martine jouissait à répétition. Quand je la pris, que je m’enfonçais dans son corps, elle m’enserra de ses jambes, de ses bras. Alors que j’allais et venais en elle, elle jouissait encore. Sa bouche sur le mienne, elle me mordillait ma langue, mes lèvres à chacun de ses orgasmes. Jamais je n’avais vu une femme ...
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