1. Renaissance pour tous (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... jouir autant en si peu de temps. Je me retenais autant que je le pus. Mon manque de sexe, mon manque de plaisir me joua un bien vilain tour. Je jouis en elle bien trop vite. Pourtant, je ne débandais pas et m’enfonçais lentement, délicatement entre ses fesses, elle me supplia de lui défoncer son cul. Je me donnais à fond et pourtant, la belle me semblait insatisfaite, me hurlant dessus, me traitant de couille molle. Je me suis alors un peu énervé et j’ai commencé à la fesser aussi durement que mon bras me le permettait. Là encore, Martine jouit, mais pas dans un soupir, loin s’en faut, mais dans un long et sonore hurlement. Elle me supplia alors de continuer à la fesser. Je me fis alors une joie de lui donner satisfaction. Ce faisant, je pensais à ma femme et mes claques redoublèrent de force. Je jouis dans son cul, elle jouit de se sentir remplie de mon foutre. Je cessais de la fesser, son cul était rouge écarlate. Je tombais à ses côtés, elle se posa sur moi. "Enfin un mec qui en a." "Qui a quoi?" "Des couilles et une queue qui va avec. Mon salaud, tu fesse bien pour un profane." "Pour tout de dire, j’ai pensé à mon ex, c’est elle que je punissais de m’avoir largué. T’as mal?" "Oui, mais putain que c’est bon. J’aime être fessée et ça me manque depuis que mon copain est parti." "Lui aussi?" "Oui, mais pour un autre monde, il se droguait, overdose d’héroïne." "La vache, et toi, tu te drogue?" "Tu rigole ou quoi, jamais. Il se droguait en douce. Je n’en savais rien." Les mots ...
    ... se turent, cette fois, c’est la tendresse qui fit le reste et quel reste. La nuit était déjà bien avancée et nous faisions encore l’amour. Entre nous, je ne pensais plus être aussi endurant. Tenir près de vingt minutes était un nouveau record pour moi, vingt minutes sans jouir en pilonnant ce corps su beau et si tellement explosif de plaisir. On a bien soupé, mais il était plus de deux heures du matin. Assise sur mes genoux, je lui donnais à manger, elle me donnait la becquée. On a passablement bu de vin, c’est un peu pompette qu’on a remis le couvert dans son lit. À mon réveil, elle était lovée contre moi. Je pus voir ce tatouage sur sa fesse, une femme attachée à un bottillon par un fouet. Soudain, telle une chatte, elle se tendit, se retournait pour me faire face. "C’est quoi ton petit tatouage?" "Oh, c’est quand j’avais vingt ans, un moment de folie pour un homme." "Soumise?" "Oui, un peu." "Raconte!" "Serais-tu un adepte?" "On ne sait jamais. on dit que l’occasion fait le laron. Pourtant j’aime bien fantasmer sur de méchantes petites fifilles particulièrement désobéissantes." "Je vois, vilain pervers." "Alors, raconte!" Martine rougit un peu. Se levant, elle est allée prendre un livre. Son journal intime dans ses mains, elle lut. Du premier au dernier jour de sa soumission, elle décrivait tout dans le moindre petit détail, même d’apparence anodine. Ce que j’ai préféré, c’est ce passage où, pliée en deux, les jambes attachées à ses bras, elle offrait toute son intimité à ...
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