Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... une bande d’hommes et de femmes avides de la posséder. D’après son récit, cela dura deux jours et deux nuits. Elle fut aussi fouettée quand les hommes la baisaient de partout. Martine, rougissant encore, m’avoua que son supplice préféré à cette époque était la cire brulante coulée sur son corps. Puis, elle me montre une photo d’elle en noir et blanc. Elle a le crâne rasé de près, chauve, une bougie sur son crâne lisse et la cire qui coule tout autour. Dans ma tête, je vois le visage de mon ex, subissant les mêmes supplices sous mon regard particulièrement sadique. Page après page, j’apprends à connaitre Martine. Elle ne me cache rien de sa vie passée et si tellement belle à ses dires. À l’entendre, sa soumission lui manque parfois. Ma main est déjà entre ses cuisses,deux doigts sur et dans sa vulve, mon pouce bien introduit dans son anus. Je parviens à l’assoir sur mes cuisses et masser ses seins de ma main libre pendant qu’elle continue sa lecture libidineuse. Un autre passage attire retient mon attention. Elle se fait sodomisée, penchée en avant, les jambes tendues, écartelées et emprisonnée dans un carcan. La position l’oblige à subir tous les hommes que son Maître a invités à la baiser. Parfois, une queue tendue se glisse dans sa bouche, bien au fond. Elle raconte avoir même vomi de sentir ces queues s’enfoncer loin dans sa gorge. Sur ses seins, son Maître lui avait suspendu des pinces lestées de cinquante grammes de plomb. À vrai dire, je n’imagine pas ce que cela peut ...
... représenter sur un mamelon, ni la douleur que cela peut occasionner. Au tiers de son journal, elle s’arrête subitement, son corps se raidit, sa tête se tourne vers moi et elle jouit longuement. Je retire ma main de son intimité et lui donne mes doigts à lécher. Si elle le fait, c’est sur mon pouce qu’elle s’attarde longuement, il sort de son anus. Martine semble se délecter de son gout musqué et âcre. D’une claque sur sa cuisse, je l’envoie nous faire un bon déjeuner, mon estomac gronde de faim. Nue, elle pose sa bouche sur ma queue qui se tend vite. Je la pousse à me sucer, ma queue s’enfonce inexorablement dans sa bouche, jusqu’à dépasser sa luette. Elle reste un moment sans bouger, cherchant à me prouver qu’elle sait toujours avaler une bonne bite. Puis, sa langue commence à frétiller, ses lèvres se serrent sur mon pénis, elle me pompe, me suce, me lèche, elle me fait une fellation d’enfer. Je lui refusais le droit d’avaler et l’obligeais à garder la bouche ouverte. Elle exécuta mes requêtes, se posant à assis sur ses talons, cuisses largement écartée. Mon sperme gicla dans sa bouche, un peu sur son visage. Les yeux de Martine pétillaient de bonheur. Je la sentais revivre et moi, je renaissais de mes cendres. À table, elle me servait, se comportant comme une soumise. Il me faut le reconnaitre, si j’avais fantasmé dominer une femme, ce n’était que dans ma tête et rien de plus. Mais là, j’en avais une à portée de main et sublime qui plus est. Elle se fit chatte soumise toute ...