1. Renaissance pour tous (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nous embrasser tous les dix mètres. Sans que je ne le sache, elle m’entraine près d’une gravière, dans des buissons. Là, ouvrant et retirant sa robe, elle se couche sur le sol et m’attire en elle. Je n’avais jamais fait l’amour en dehors d’une chambre, je découvrais un nouveau plaisir. Oh, elle ne fut pas longue à jouir et moi non plus. Mon foutre se répandit à l’orée de son sexe, sur l’intérieur de ses cuisses et même un peu sur son pubis. "Ne te caresse pas, ne t’essuie pas. C’est un ordre." "Oui Maître." Qu’elle me répond d’une voix soumise. Je la relève, l’embrasse longuement en lui mettant sa robe que je boutonne qu’un bouton sur deux. Ainsi parée, je nous dirige vers un restaurant, vu l’heure, on peut encore y manger. Je sens une certaine tension chez Martine au moment de pénétrer dans ce restaurant. À table, interdiction qu’elle croise ou serre ses cuisses. Je lis une crainte certaine sur son visage. Il y a peu de client, la plus part déjà en sont déjà au café. Je nous commande la spécialité, cela me laisse une bonne trentaine de minute pour m’amuser d’elle. Parfois, quand un regard pose brièvement sur nous, je fais un signe de tête ou de main, comme pour saluer de vieux amis. Plus l’heure avance, plus je la sans mal à l’aise. Et je ne fais qu’accentuer son malaise. Enfin, cerise sur le gâteau, je lui demande de relever sa robe pour qu’elle s’asseye que sur ses fesses nues. C’est aussi le moment que choisit un couple pour se lever et quitter l’établissement. La honte ...
    ... se lit sur le visage de Martine quand je regarde ce couple et lui souhaite une excellente journée. "Ça va, tu te sens bien?" "Non, je ne me suis jamais montrée comme ça en public." "Et tu ressens quoi?" "De la gêne, de la honte." "C’est exactement ce que je voulais. Ne me dis pas que tu ne mouille pas. Pas une goutte ?" Tu parles, je me suis levé pour vérifier, sa chaise était toute humide de ses désirs. À son oreille, je la traitais de douce salope, elle prit ma main pour baiser tendrement son creux. À ma place, l’entrée arriva un peu plus tôt que je ne le pensais. Jetant un œil autour de nous, j’ordonnais à Martine de prendre l’œuf uniquement avec sa bouche. Elle le fit sans rechigner et devant le personnel qui préparait déjà la salle pour la soirée. Ensuite, elle mangea normalement, comme moi. Sur la route du retour, je la questionnais longuement sur ses envies, ses fantasmes. Ainsi, j’appris que l’exhibition forcée faisait partie de ses désirs. Je n’allais pas me priver de l’exhiber alors. Je parquais ma voiture devant chez moi. Je ne voulais pas laisser mes chats crever de faim. Dans mon appartement, la porte fermée à double tour, j’ordonnais à Martine qu’elle se mette nue. Pendant que je donnais à manger à mes chats, elle put visiter mon antre comme elle le désirait. Libre de ses mouvements, elle visita toutes les pièces. Au salon, je lui demandais ce que je devais changer. Alors, sur un bloc-notes, elle me fit une longue liste tout en m’expliquant ce qu’il me fallait ...
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