Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... excuse. La gifle fut particulièrement brutale. Mais elle me fixe, sa main sur sa joue, des larmes dans ses yeux. Sa bouche se rapproche de la mienne, glisse le long de ma joue jusqu’à mon oreille. "Donne s’en moi une autre, je t’en prie." "Non, j’ai peur de te faire plus mal encore." "Libère-toi de ton ex, GIFLE-MOI, ESPÈCE DE COUILLE MOLLE!" Mot à ne jamais prononcé devant moi, la gifle part, une autre suit directement, ce sont ses seins que je vise maintenant, ses seins qui rougissent. Son cul, enfin, je le claque avec une force que je ne pensais pas retrouver. Je la gifle de partout sur son corps. Je ne me contrôle plus. Enfin, à bout de force, je m’effondre près d’un corps rouge de mes claques plus que brutal. "Là, maintenant, tu te sens mieux. C’est fini, tu l’oublie, je serais toujours là pour toi." "Putain, tu cherches quoi?" "Moi, rien de plus qu’à redevenir l’esclave d’un mec, d’un homme un vrai de vrai, une brute qui me punit comme tu viens de le faire." "T’es maso ou cinglée?" "Maso, très certainement, mais cinglée, je ne le pense pas. Ce que tu viens de me faire, si j’en ai joui, c’est parce que je me suis souvenue de ce que j’étais avec mon Maître. Mais j’ai eu mal, plus mal encore qu’avec mon Maître. Il le fallait si tu voulais oublier ton ex-femme." "Vous, les femmes, j’ai de la peine à vous comprendre. Imagine que tu sois une tordue et que dépose plainte chez les poulets. Je suis en tôle et pour un bout de temps." "En tôle, je veux bien, mais à une ...
... condition, que je sois celle qui soit chargée de te garder. Tu vois, je me demande qui est le prisonnier de l’autre." "Je me le demande aussi. j’ai lu un truc, un jour, sur le SM. Il disait que l’esclave dominait toujours le Maître au moment du plaisir." "C’est à la fois vrai et faux. On peut punir, torturer pourfaire jouir. On peut aussi punir, torturer pour réellement punir et là, aucun orgasme, sous peine d’une punition plus cinglante encore." Je la serrais tout contre moi. Je n’avais plus envie qu’elle ne me quitte, ne serait-ce que d’une semelle. Je la voulais comme mon ombre, collée à moi à tout jamais. En faire ma soumise, non, pas forcément, ou un peu, par jeu. Mais, sincèrement, je crois que Martine est réellement une soumise dans l’âme. Pire encore, une esclave de ses vices, de ses fantasmes non encore vécus. Je lui proposais une promenade au bord du lac Léman, elle enfila une robe, aussi boutonnée sur le devant. Puis, elle la retira, m’empêcha de mettre mon pantalon. Sous la douche, elle me lava entièrement, léchant même mon cul, j’adore sentir sa langue s’insinuer dans mon anus. De sa main, elle me branle lentement pendant que sa langue frétille dans mon cul. Enfin, dans ma voiture, elle écarte ses cuisses, défait les quelques boutons de sa robe, me dévoilant son corps. Ma main, une fois en cinquième, se glisse sur son sexe. Son sourire me dit que je n’ai pas fini d’en découvrir avec elle. Près du lac, main dans la main, on se promène sans but précis, juste le plaisir de ...