Souillure et plaisir (1)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Hétéro
... occupations, torse (gros, poilu) nu dans son jardin en arrosant ses plantes. La mort de son mari l’avait changée : et elle éprouvait un peu de peine pour ce vieil homme, méprisé de ses pairs (oui parce qu’il devait bien tâter la barre des 70 ans maintenant). Mais faut pas déconner, toujours un connard de voyeur sale et bedonnant. Pourtant le petit vieux baissa sa braguette, sûrement une petite envie de pisser. Christine ouvrit grand les yeux : dans son pantalon, juste sorti, une grosse bite molle, énorme. L’engin devait facilement mesurer 5 centimètres de diamètres, et au moins 10 centimètres devaient sortir de la braguette. Un beau morceau à n’en pas douter. La culotte de la belle s’humidifia en une fraction de seconde, quelque chose qu’elle n’avait jamais connu. Et le vieux pissait, et elle regardait, sans pouvoir détacher ses yeux de cette masse de chaire. Même pas bandé la chose, et pourtant, au moins 2 fois plus grosse que celle de son mari en terme de dimension, et la longueur de sa molle laissait présager des chapiteaux très élevés, pour elle qui n’avait connu qu’un petit banquier pas très dimensionné. Instinctivement elle plaça sa main sur sa culotte, pour constater les dommages. Là il y avait des dégâts matériels : une culotte absolument trempée. Elle passa sa main à travers ses petits poils taillés. Un semi contact avec son bouton déchaîna un orgasme jamais atteint au cours de sa vie : elle vacilla, mais réussi à se retenir sur le rebord de sa fenêtre pour ...
... continuer d’observer le petit vieux. D’ailleurs il finit par se rhabiller, et continua d’arroser son jardin. Etait-ce les cinq mois d’abstinence qui avaient provoqué cette réaction ? Sûrement. Pourtant elle était loin d’être du genre folle du cul, et jamais elle n’aurait osé fantasmer, du temps de son mari, sur qui que ce soit, ça aurait été mal ! George en plus ! C’est donc trempée et toujours autant excitée qu’elle poursuivit sa journée. Mais mettons-nous d’accord : faire semblant ne suffit pas ; lorsqu’on aperçoit l’objet de désir, même si on se le refuse, et bien il trotte dans votre tête jusqu’à vous rendre fou, le vieux dégueulasse. Voilà une semaine que Christine est marquée par la souillure (parce qu’honnêtement y a pas d’autres mots). Cette bite, gigantesque, titanesque même : elle la revoit à chaque fois qu’elle ferme les yeux. Dans tous ses rêves elle se retrouve nue face à ce vicelard, qui la tripote de ses grosses paluches hirsutes. Et elle ? Et elle ? Ca la dégoute, mais elle écarte grand les cuisses, cherchant à recevoir ce monstre hideux à l’intérieur. Mais elle se réveille toujours avant de se faire prendre. Elle se dit que c’est mieux ; mais espère un jour le contraire, secrètement. Et quand elle se réveille, trempée, la foufoune en feu, elle repense à George, ce vieux voyeur moche et gras ; elle se dit que c’est mal, le méprise, pense à son mari. Mais au fond elle ne rêve que d’une chose. Alors une fois, rien qu’une fois elle passe la main sous sa nuisette, caresse ...