Souillure et plaisir (1)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Hétéro
... la toison suintante ; pas les seins, il y avait encore le sweat mais on pouvait voir que ça pointait sévère. La tête complètement renversée, elle haletait. George fit un bon en arrière, si elle n’avait pas eu les yeux fermés, alors elle l’aurait remarqué. Cette toison, putain mais quelle toison ! Il revint sur ses pas et ouvrit la porte avec fracas pour se faire entendre : — Christine ! Excusez-moi je me permets d’entrer ! Je voudrais juste utiliser vos toilettes ! Il entendit sa panique, un « j’arrive » peu convaincant, et une femme magnifique débouler du couloir, pointant plus fort que jamais et un peu essoufflée. Elle avait remis son jean, mais sans culotte, et cela se voyait. Comment me dirait-vous ? Eh bien elle avait fermé le bouton mais pas la braguette, et de petits poils pubiens dépassait çà et là. Dans la panique, la belle n’avait pas fait attention, par contre le voisin, lui il les voyait bien, en se forçant à regarder le visage Christine pour éviter d’être trop flagrant. Elle finit par lui indiquer la salle de bain, et le reste de l’après-midi se déroula sans incident. Par contre la soirée, ce fut une autre histoire : George alluma son ordinateur, et en même temps les petites caméras qu’il avait réussi à poser un peu partout dans la salle de bain. Il était même parvenu à en glisser une dans le couloir, donnant sur la chambre : le même point de vue que celui qui lui avait permis de surprendre sa belle voisine. Bon, mini caméra oblige, le son n’était pas ...
... disponible, mais au moins, personne ne les verrait (il les avait placé en hauteur et dans les coins des placards, pas de doute elle ne les verrait pas). Christine lui avait donné rendez-vous pour un second nettoyage la semaine prochaine, et il comptait les enlever à ce moment, par précaution. Autant vous dire que d’ici là, il allait l’apercevoir deux-trois fois la chatte de sa voisine. * * * Christine était morte de honte, elle avait failli se faire prendre les cuisses ouvertes. Heureusement, elle avait laissé son jean trainer à côté d’elle. Une fois le voisin partit, elle piqua une petite tête dans la piscine, avec le maillot que lui avait offert une fois son mari. Un joli bikini blanc et doré, qu’elle adorait mettre. Puis elle finit sa journée avec une petite séance de bronzage. Seins nus évidemment, une fois un pallier franchi on ne peut plus revenir en arrière. Elle l’avait trouvé plutôt sympathique aujourd’hui, bien que son odeur de transpiration ait failli la faire vomir : elle avait essayé de le payer, et il avait tout refusé en bloc, prétextant rendre service. Il fallait le reconnaître : il se rendait sympathique, et de la compagnie, même la sienne, ne lui faisait pas de mal. Bien au contraire. Elle en revenait à peine de le penser d’ailleurs, elle qui l’avait toujours conspué. La semaine suivante, elle préféra bronzer. Oui, vous avez bien lu : en fait, elle préférait s’exposer à cet immonde personnage plutôt que d’avoir la tentation de… et de se faire surprendre. Alors ils ...