1. Souillure et plaisir (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... papotèrent, un peu. Christine supportait mal les coups d’œil qu’il lui jetait, même si elle avait gardé son haut (pas folle), l’idée d’avoir la bite du vieillard à proximité l’excitait au plus haut point, mais elle en pointait, et ça se voyait. Une fois qu’il eut fini, la belle lui propose un café, et ils prirent le goûter sur le bord de la piscine. — Vous savez Christine, vous avez de la chance d’avoir une piscine. Moi la mairie me la refuse, soi-disant que le terrain n’est pas adapté. — Oui c’est normal, cela peut être dangereux. mais c’est vrai que ce doit être ennuyeux. — Du coup cela doit faire bien vingt ans que je ne me suis pas baigné, ça manque. Elle le regarda dans les yeux, des petits yeux globuleux et aussi moche que le reste, mais elle eut pitié. Et l’idée de l’avoir en maillot à deux pas rendait la chose beaucoup plus intéressante. D’autant qu’il puait à en mourir, alors pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable ? D’un coup elle eut une idée ! Il fallait absolument qu’il plonge dans la piscine ! — Et bien que diriez-vous de vous baignez ? Proposa la belle. Cela vous rappellerait de bons souvenirs. Et puis vous savez cela me gêne de vous employer sans rien vous donner. — Oh putain ! rétorqua George en rigolant. Oui pourquoi pas, mais il faut que j’aille chercher un maillot chez moi, attendez je reviens. — Oh non, je dois en avoir de mon mari, accompagnez moi je vais vous en prêter. Alors il la suivit, jusque dans sa chambre. Elle en bikini, lui torse nu et ...
    ... pourrissant sa maison de son odeur fétide. Heureusement qu’il n’allait pas tarder à prendre un bain. Elle finit par trouver un maillot de bain et le prêta à son voisin avant de rejoindre le transat de la piscine, le sourire aux lèvres. Elle avait délibérément choisit un « moule bite », elle allait tout voir. Elle mouillait rien que d’y penser ; ses tétons manquaient de déchirer le haut de son bikini mais depuis tout à l’heure, George devait s’être habitué. Lorsque celui-ci passa le pas de la porte, sa mâchoire se décrocha. Il était là : l’objet de tous ses désirs et fantasmes, moulés comme jamais dans un maillot trop petit pour le quintal de son porteur. Mais sa bouche se ferma rapidement : à côté de ça elle eut un haut le cœur : des poils blancs sortaient de tous les côtés du maillot, sans parler de son ventre bedonnant et tapis comme le sol d’une forêt de vieux poils gros et longs. Rien de bien appétissant de ce côté-ci. George l’aperçut : il se doutait que la dame fantasmait sur quelque chose. Après tout, il l’avait vu frotté sa chatte en feu matin midi et soir dans sa chambre ou dans la salle de bain. Pas de doute, cette bourgeoise souhaitait un bon coup de bite, et il comptait bien le lui donner, à cette salope qui pointait comme une putain en rut. Putain ! Vingt ans qu’il attendait ce moment, et la mi- molle rien que d’y penser. Pour le plus grand bonheur de la dame. George s’enfonça dans la piscine (non, pas dans Christine). Il nagea un peu, se désaltéra, et mis en œuvre ...
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