Souillure et plaisir (1)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Hétéro
... il dégrafa son haut de bikini avant de la peloter. Elle ? Elle était partagée : de vive voix, elle lui ordonner de la lâcher, qu’elle allait appeler les flics et qu’il ferait de la tôle. Mais ses caresses : il lui pinçait les tétons, laissait trainer ses grosses paluches sur ses seins en la portant dans l’eau ; et puis il y avait sa bite : d’abord elle s’était retrouvée contre son cul, et ça l’avait laissé sans voix pendant quelques secondes, le temps qu’il dégrafe son haut, et puis maintenant elle était entre ses cuisses. Elle était limite assise dessus, et pouvait la sentir frotter son bouton à travers le tissus. Elle en mourrait d’envie ; pourtant elle le supplier d’arrêter, qu’elle ne dirait rien, que c’était promis. Et puis ce qui devait arriver arriva : George partit à la pêche dans la culotte de la belle (et là, c’est le drame =) qui se stoppa net. En une demi-seconde, une vague de plaisir la submergea, pire que la fois où elle avait aperçu sa bite depuis la fenêtre, tellement de plaisir : elle s’abandonna et soumise, écarta les cuisses. George, pas fou, prit ça comme une autorisation : il déchira la culotte et passa ses doigts sur la foufoune qu’il avait toujours rêvé de prendre. Elle était là, toute chaude, toute belle, et il n’en revenait pas. Il se débarrassa de son propre maillot et porta Christine jusque dans sa chambre, dans le lit conjugal. Elle ? Elle se laissait faire : l’orgasme l’avait dévasté, et c’est à peine si elle arrivait à chuchoter : — George… Je ...
... vous en supplie, arrêtez… — Toi ma belle, répondit le vieux vicieux, crois-moi tu vas en redemander ! — Non… Je vous en prie… Il la posa sur le lit, et lui écarta manuellement les jambes, en les tenants fermement. Quelle chatte ! Non mais quelle chatte ! Pas comme les petites putes qui pouvait lui arriver d’appeler, avec leur minou tout rasé, sans charme : là il avait droit à un minou de femme, une vraie toison, bien rasée et ordonnée. Alors il prit du bon temps : passa ses doigts sur les poils, jouant avec. Puis il lui mit deux doigts, ce qui fit hurler Christine qui le suppliait d’arrêter depuis déjà cinq bonnes minutes. Mais bon, vous connaissez Christine : elle le méprise, le déteste. Mais le voir jouer avec son vagin là… Eh bien oui, elle a beau crier qu’elle ne veut pas, et bien déjà ses tétons et sa mouille prouve le contraire, mais inconsciemment elle n’attend plus qu’une chose : qu’on la prenne. Mais pas ici, pas dans ce lit, pas avec lui : elle aurait préféré qu’un chien la prenne comme une pute plutôt que de s’offrir à ce vieux débris vicelard. Elle ne put s’empêcher de grimacer quand le vieux se mit à lui lécher les tétines : elle détourna le regard, mais l’essentiel y était : ses cuisses étaient toujours ouvertes, avec à l’intérieur, trois doigts que le voisin avait du mal à faire entrer. Et oui, jusque-là elle avait toujours été plutôt réservée la dame, donc assez serrée. Le mari banquier, il en avait une petite, et il n’avait pas eu droit souvent à la foufoune de ...