1. Souillure et plaisir (1)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... son plan : — Christine, venez-vous baigner, elle est bonne ! — Bof ! Bon pourquoi pas. Pourquoi a-t-elle accepté ? Vous n’avez pas une petite idée ? Eh bien la dame à la chatte en feu alors se rafraîchir ne peut faire que du bien. Même si en ce moment elle ne rêvait que du départ de son voisin, qui lui aurait permis de se doigter allégrement. Mais ne soyons pas mauvaise langue, avec un peu de chance, elle aurait droit à un autre visuel sympathique. Alors elle le rejoignit dans la piscine. Celle-ci lui offrait d’ailleurs un autre avantage : l’eau était floue, même George travaillait dessus, mais cela permettait de cacher sa poitrine au vieux pervers. Du coup, on voyait à peine à vingt centimètres en dessous de la surface. Lui, pas fou, sortit de la piscine pour sauter dans l’eau : — J’adorais faire ça quand j’étais môme. — Faites attention à vous, tout de même, fit la belle en souriant. Elle eut un haut le cœur : les poils du vieux formaient des petits grumeaux grisâtres sur son ventre. Il n’était pas obèse, juste en surpoids. Mais pas de quoi affoler qui que ce soit. Le vieux par contre, pas fou : il avait tout prévu depuis le début, et lorsqu’il se retrouva au milieu du grand bain, il profita de l’élan pour faire glisser son maillot, le laissant pendouiller à son pied droit. Puis il rejoignit la belle à l’avant de la piscine en rigolant, la bite à l’air (ou plutôt à l’eau) sans que la dame ne se doute de rien. Et l’excitation commençait à poindre, même pour un vieux débris ...
    ... dans son genre. Elle aussi riait… Mais parce qu’il avait fait un plat : il profita de la situation pour en rajouter un peu, se frottant la tête et feignant la douleur. Christine l’examina : tous deux debout dans la piscine, l’eau leur arrivait un peu en dessous des épaules. La belle s’approcha et frotta un endroit un peu rouge sur la tête de son voisin. Quel con celui-là, même pas capable de sauter dans l’eau correctement. Bon, elle avait eu un visuel c’est vrai mais… Attendez ! Qu’est-ce que ? La belle sentit quelque chose frôler son nombril. Elle eut un mouvement de recul. Se pouvait-il que ? Non ! Elle passa la main sous l’eau, et attrapa un gros poisson. Si gros que sa main n’arrivait pas même à en faire le tour. Elle regarda son voisin droit dans les yeux, frappée de terreur et d’incompréhension : il souriait, et passa ses mains sur ses bras en les caressant. — Et bien alors Christine, on va à la pêche ? — Ge… George, m’enfin… Que faites-vous ? Enfin, je vous en prie… Je ne sais pas… Rhabillez-vous enfin… — Ah, Christine, pour cela il faudrait déjà la lâcher. (il attrapa la main de la belle et la força à garder la masse en main au moment où elle essaya de la retirer) Mais entre nous, vous en mourrez d’envie non ? — Mais enfin George lâchez moi, c’est parfaitement déplacé ! Le petit vieux retourna Christine et la plaqua contre son ventre. Elle eut encore un haut le cœur : elle pouvait sentir son ventre et ses poils frotter son dos. D’une main il la maintenait, de l’autre ...
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