1. Mon enfer (7)


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Divers,

    ... sais, je sens que c’est mon corps qui prend le dessus. Alain, lui n’a pas du tout bronché. Impassible à quelques centimètres, ses longs bras restent le long de son corps et j’en viens à souhaiter que ce soit lui qui… mais il ne bouge pas. Je fais un pas sur le côté comme pour échapper à la pression qui devient oppressante. Et ça y est sa main s’est portée sur mon bras. — Non ! Claude s’il te plait ! Ne pars pas. Reste encore un peu… Nous pouvons juste parler, parler d’avant. —… ! — Oh ! Je t’en supplie ! Ne fais pas comme si tu ne voyais pas que je crève de toi ! Je ne réponds toujours rien, mais j’ai arrêté mon mouvement et il en profite pour me coller contre lui. Ensuite tout va très vite. Sa bouche vient à la rencontre de la mienne. Je n’ai plus du tout envie de fuir. Il me faut simplement assumer cette réalité délirante. Je suis chez mon ex beau beauf, à cent mètres à peine de la maison qui nous abritait, mon mari et moi et je sais que je veux baiser ! Je dis bien baiser, c’est comme une chienne qui réclame un os que je suis après ce type. Pas parce que c’est Alain, pas parce que je le connais, juste parce que c’est un mec, qu’il porte une bite et que depuis un trop long moment mon ventre crie famine. La pression est trop forte et la soupape de sécurité s’est sans doute de m’envoyer en l’air une bonne fois pour toutes. Peu importe qui porte le flambeau, je ne veux que sentir ces sensations trop bonnes que nous apporte, à nous les femmes, le sexe. Quand nos langues se ...
    ... refont la cinquième symphonie de Beethoven, je ne suis plus qu’un pantin qui se lâche entre deux bras bien masculins. Qu’il connaisse mon corps ne change rien à mon immense désir. Ses lèvres courent sur ma peau me couvrent de bisous sonores. Et ses mains entrent en action. Elles me caressent la nuque alors que je me frotte littéralement contre lui. Mes seins au seul frottement contre sa poitrine se sont durcis et les tétons sont devenus comme de la pierre. Une de ses jambes s’est infiltrée entre les deux miennes et son genou est remonté sans ambiguïté pour se frotter contre ma chatte. Nous sommes encore vêtus, tous les deux, mais les frissons sont d’autant plus intenses que nos vêtements nous électrisent davantage. Je me fiche de savoir qui il est. Je m’en contrebalance et je me serre plus étroitement contre lui, entrainant dans mes mouvements un frottement plus violent sur mon entrecuisse. Je mouille abondamment et quand ça main enfin vient me délivrer de cette culotte qui me colle à la peau, il ne peut que savoir, que mon désir est bien réel. Il ne dit rien, se contente de me désaper rapidement, avant d’en faire autant pour lui. Nous roulons sur la moquette sans regarder où nous sommes ! Je m’en moque éperdument, je ne cherche rien d’autre que sa bite qui monte fièrement vers son nombril. La taille n’a pas une importance capitale n’en déplaise aux mesureurs forcenés. Le bonheur suprême c’est de ressentir toutes les vibrations de cette bête bouillante qui palpite dans le creux ...
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