1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    ... plus, il avait ce regard du chasseur surle point d’att****r une proie.Le salaud, me dis-je, il vient de faire une touche ! Ma curiosité fit que je me rapprochais pourmieux voir et entendre ce qui se tramait. J’entendis clairement prononcer – en arabe :- Le mien est beaucoup plus grand que celui-ci ! Il est aussi grand que celui d’un âne !(En’t‘aa‘i kbir bezzaf a‘ala ‘hadha ! ki t‘aa lahmar !)J’entendis les deux femmes – des fantômes blancs, dont je ne voyais rien de précis, si ce n’étaientdeux silhouettes informes emprisonnées dans de la soie blanche – glousser comme des dindes, n’osantpas rire franchement à la remarque obscène de mon frère. En m’approchant, j’avais vu que Moussaavait ouvert un livre que je reconnus tout de suite, parce que c’était un livre licencieux, que lacensure avait miraculeusement laissé passer entre les mailles, d’habitude imperméables, de sesfilets. Il s’agissait d’un récit érotique – « Le jardin parfumé » de Cheikh Nefzaoui - écrit enTunisie au début du seizième siècle et qui, en plus du texte, comportait des illustrations sanséquivoque.Moussa était entrain de montrer aux deux femmes les images de positions sexuelles que décrivaitl’auteur et avait ainsi très fortement attisé leur curiosité. Elles riaient maintenant aux éclats,sous leurs voilettes qui ne laissaient voir que leurs immenses yeux noirs. Je m’approchais pourmieux voir, et, ave le secret espoir de participer à la discussion et …à plus, si affinité. Jeconnaissais trop bien mon frère pour ...
    ... ne pas avoir deviné qu’il était entrain de dérouler un planqu’il avait concocté depuis sa première rencontre avec le due, le samedi dernier. A ses yeux quibrillaient et au rictus qu’il avait sur les lèvres, je savais qu’il venait de ferrer le poisson. Ilne s’adressait en fait qu’à une seule des deux femmes – la plus grande et celle qui, sous son haïk,semblait la plus plantureuse des deux. Et je connaissais la préférence de Moussa pour les femmesbien en chair. Il avait donc fait son choix, et me laissait la deuxième femme. Cela faisait partiede nos accords tacites : quand l’un d’entre nous choisissait le premier une proie, l’autre acceptaitle choix et devait se contenter du lot de consolation ; si lot de consolation, il y avait.Je me mis donc à accorder un intérêt particulier à la deuxième femme – elle s’appelait Baya (alorsque sa compagne avait pour doux nom Djamila). Elle avait de magnifiques yeux. C’était la seulechose- avec le mollet droit - que je pouvais distinguer nettement. Tout le reste était caché par lasoie blanche du Haïk. Je ne savais absolument pas ce qui se cachait sous le voile. Moussa non plusd’ailleurs, mais pour lui, c’était moins grave, puisque ce qu’il aimait par-dessus tout chez unefemme, c’était son côté callipyge (c’est-à-dire avec de magnifiques fesses et par extension, unefemme avec des formes très prononcées). Et même sous le haïk, on voyait que Djamila étaitplantureuse et avait un superbe fessier.A l’époque, on disait entre garçons, quand on avait ...
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