1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    ... affaire à des femmes voilées que l’on draguait,qu’on avait affaire à de véritables pochettes surprises : on ne savait jamais, qui se cachait sousla blancheur immaculée du voile et sur quoi on allait tomber. Avec Baya, c’était bien de surprisequ’il s’agissait : tout ce que pouvais voir c’étaient ses magnifiques yeux noirs – non maquillés -et un sublime mollet tout blanc et superbement galbé qu’elle exhibait avec un art consommé de laprovocation, à chacun des pas qu’elle faisait. Quelque chose pourtant me disait que cette femmedevait être exceptionnellement bandante. Peut-être à sa démarche ondulante ; peut-être à la manièredont elle tenait son voile sous le menton, pour qu’il ne s’échappe pas : tout en élégance ; peut-être aussi à sa manière directe et effrontée de nous regarder Moussa et moi. Si j’avais eu àchoisir, mon choix se serait porté sans aucune hésitation sur Baya. Le hasard ayant bien fait leschoses, je me décidais à entrer en scène pour participer à la faire évoluer.Ayant compris le plan d’attaque de mon frère – il s’agissait pour lui de séparer les deux femmespour pouvoir s’occuper pleinement de Djamila, - je fis la proposition de montrer à Baya la deuxièmecopie du livre qui se trouvait dans la chambre du fond.- C’est une très bonne idée ! répondit Moussa. Comme cela toutes les deux pourront profiter dulivre, sans avoir à le faire passer de l’une à l’autre. Vas-y frérot, montre lui tout ce que savaitfaire notre bon Cheikh Nefzaoui.Il y eut un petit moment de ...
    ... silence chez Baya, que je croyais être de la gêne. Cela m’avait renduhésitant sur la manière de m’y prendre avec la femme. Ce fut Moussa, avec son sans gêne légendaire,qui me montra la voie à suivre Il prit Djamila par la main et, sans autre forme de procès –etsurtout, sans qu’elle ne protestât, l’entraina derrière le comptoir, en lui disant :- Installe-toi, pendant que je ferme la porte du magasin.Djamila obéit sans rien dire, pendant que mon frère alla fermer la porte du magasin et installa safameuse petite pancarte qui indiquait : « Je reviens dans une heure ». Il la plaçait, sur la vitrede la porte d’entrée, chaque fois qu’il était occupé, à l’intérieur du magasin avec une dame. Jepris Baya par la main et l’entraînai vers le fond. Elle opposa une toute petite résistance – quim’obligea à tirer un peu plus fort sur son bras - et puis elle se laissa faire et se dirigea presquetoute seule, vers le canapé installé tout au fond de la petite pièce. Je la regardais aveccuriosité. Elle était restée debout, tenant de sa main droite son voile sous son menton pour qu’ilne glisse pas et libère sa tête; la main gauche, quant à elle, était restée ballante à ne rienfaire.Je m’approchais d’elle et tendit la main pour qu’elle lâche les bouts du haïk qui le retenais sur satête. Elle fit non de la tête, mais avant même que ma main ne touche la sienne, elle desserra sesdoigts et laissa le tissu glisser le long de son dos, libérant ainsi une longue chevelure noirecorbeau tressée grossièrement et ...
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