1. Les femmes du hammam Episode 1 : Baya et Djamila d


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Humour, Anal

    ... encore toute humide du bain qu’elle avait pris tantôt. Les femmesqui allaient au hammam, attendaient de rentrer chez elle pour se sécher les cheveux, se coiffer etse maquiller, en attendant l’arrivée du mari, à qui toute la cérémonie était destinée.Ma pochette surprise me réservait une vision des plus agréables. Je me disais que si le reste de latête et du corps étaient à l’image de sa chevelure, je venais de décrocher le gros lot. Mais pour leconfirmer, il me fallait maintenant me débarrasser de la voilette qui soustrayait son visage à mesyeux. Je tendis mes deux mains pour la lui enlever. Elle ne voulut pas que je m’en occupe; elle lefit elle-même et en une fraction de seconde, elle défit le nœud qui la tenait derrière sa nuque etoffrit à mes yeux émerveillés, un superbe visage de madone. Elle devait avoir environ trente ans.Elle était brune – une vraie brune au teint mat – avec un visage rond, des joues de poupée et unepetite bouche entourées de la plus merveilleuse paire de lèvres que je n’avais eu à admirer dans majeune vie de mâle. Des lèvres pleines, comme des fruits bien mûrs – des cerises dont elles avaientla couleur - superbement ourlées et légèrement avancées comme pour quémander un baiser. Des lèvresque je voulais déjà embrasser et croquer pour en connaitre le goût et tester leur fermeté.Baya était restée debout face à moi. Elle ne disait absolument rien – je venais de me rendre compteque je n’avais pas encore entendu le son de sa voix – et se contentait de me ...
    ... regarder de manièrepresque ironique et provocante. Comme si elle me disait : « mon salaud, tu ne t’attendais pas à ceque je sois aussi belle ! »- Tu es vraiment superbe ! Est-ce que le reste de ton corps est du même acabit ? Tu ne veuxpas enlever ton voile ?Elle me regarda encore un moment, comme si elle pesait le pour et le contre de la proposition que jevenais de lui faire, puis d’un geste gracieux, elle fit passer toute la pièce de tissu par-dessus satête – elle tenait par un élastique autour de sa taille – et resta avec une robe en coton de couleurorange, qui s’arrêtait juste au dessous de ses genoux. C’était vraiment une belle plante : de taillemoyenne et merveilleusement proportionnée ; avec une poitrine ferme et arrogante, bien que de taillemodeste. J’étais sûr qu’elle ne portait pas de soutien gorge, tant ses tétons étaient visibles sousle tissu de la robe. Sa taille était fine, mais elle avait un tout petit ventre rond quitransparaissait, lui aussi, sous le tissu de sa djebba. Un ventre tellement mignon et érotique !Ses hanches étaient larges – je me fis la remarque qu’elle avait dû avoir au moins deux enfants – etson fessier rond et haut perché, comme celui d’une belle pouliche. Ses jambes étaient bien dessinées– longues et galbées – et, à ce que j’en devinais, étaient surmontées par des genoux ronds etbrillants et des cuisses longues, fermes et bien pleines. Je sentais mon cœur battre la chamade. Jecommençais même à être un peu intimidé. « Elle est trop belle pour toi ...
«12...456...15»