BM... W
Datte: 15/08/2017,
Catégories:
hh,
hbi,
grossexe,
parking,
Oral
hdanus,
hsodo,
... longtemps, si tu veux…— Quoi, si je veux ? En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre que tirer un petit coup… Décidément, ce mec commence à bien me plaire, et je réalise que depuis que je suis en sa compagnie, Gaby ne me manque finalement pas tant que cela. C’est incroyable, ce don qu’ont certains mecs pour occuper l’espace ! Pour toute réponse, je dégrafe mon pantalon, le fais glisser avec mon caleçon pour le retirer. À poil au beau milieu de la nuit sur un parking à quelques dizaines de mètres de la route, mon côté provoc prend le pas, la situation, tout comme la belle bite de Jérôme, m’excite. — Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en débouclant sa ceinture, satisfait de mon acquiescement. Je me penche sur lui alors qu’il dégrafe son pantalon, et sa belle queue luisante se retrouve livrée à la lumière lunaire. Ma main la lui agrippe et ma bouche ouverte l’engloutit jusqu’aux couilles d’un seul trait. Lui, c’est ma tête qu’il attrape, appréciant mon enthousiasme, et son autre main vient caresser mes fesses libres d’accès. Toujours sensuellement, je pompe son gros sexe gonflant rapidement entre mes lèvres, veillant bien à l’honorer sur le plus de longueur possible. Ma langue joue allègrement lorsque je n’ai plus que son gland en moi, je l’aspire fort pour lui « tirer le sang à la tête ». Ses petits cris de satisfaction me parviennent à peine tant la tâche m’absorbe, et ses doigts qui découvrent un nouveau terrain de jeu m’émoustillent. ...
... Ils ne tardent pas à m’investir le rectum, à en tester la souplesse, l’élasticité. Qu’elle est bonne, sa bite, bien renflée, volumineuse, son gros gland lisse tendre comme un énorme bonbon en gélatine… Alors que sa bonne barre bien humide de ma salive martèle mon visage, j’aspire une à une ses boules fermes, n’hésitant pas à les « remorquer » un peu pour bien l’aguicher, puis passe un bras entre ses jambes pour venir lui pétrir les fesses, tout en lui disant que sa queue me plaît, qu’il devra décharger au moins autant que tout à l’heure, que je n’aime pas les « petits joueurs », qu’il ne fasse pas semblant de bander lorsqu’il va me la mettre. Je lui mords maintenant la hampe en parcourant sa raie du plat de ma main, et sens bien au travers des soubresauts de sa bite que cette caresse ne lui est pas indifférente, je m’attarde vers son anus et le masse en appuyant mon index et mon majeur réunis, sans toutefois chercher à le pénétrer. Lui ne s’en prive pas, me doigtant de plus en plus intensément. Mon cul se réveille, réalisant la potentialité de ce qui circule entre mes lèvres, et le plaisir que cette bite va lui procurer ! C’est son gland qui me pénètre de nouveau jusqu’aux amygdales, large au possible, gonflé à bloc. Cette pine me fait trop bander, il me la faut. Sa bite est enflée, ma bouche est grande ouverte, et il me traverse le crâne, je suis prêt. — Ta queue m’excite, j’ai trop envie que tu me prennes. Elle est si grosse, j’adore ça ! Tu vas me « gabariser ».— Ça risque ...