1. BM... W


    Datte: 15/08/2017, Catégories: hh, hbi, grossexe, parking, Oral hdanus, hsodo,

    ... rien, tu es sûr ? Et si quelqu’un arrive ?— On sera plus nombreux ! Et toi, tu risques de me faire jouir très fort ! Laisse-moi faire, ne jouis pas trop vite et tout ira bien. Viens ! Je me mouille les doigts et m’enduis l’anus de ma salive. Ce qui est pratique, c’est que lorsque l’on suce, au bout d’un moment, la salive s’épaissit et devient un peu gluante, remplaçant agréablement tout lubrifiant, j’y ai souvent eu recours. Je m’en masse très fort les bords de mon trou pour bien l’assouplir, il en aura besoin. Par expérience, je sais que lorsque j’ai vraiment envie de me faire prendre, je peux y parvenir pratiquement à sec, avec un minimum d’excitation. Bavant copieusement sur son gland le temps de quelques allers-retours et je me redresse, prêt à me livrer. — J’ai trop envie de la sentir me traverser le ventre. Viens vite me la mettre. Sans perdre de temps, je me tourne et prends appui sur le capot tout en saisissant la lourde queue de Jérôme pour l’attirer entre mes fesses. Le contact mouillé de son gland contre mon anus établi, je le promène circulairement plusieurs fois en lui demandant de bien s’enfoncer en moi, puis le place juste à l’entrée de mes reins. — Vas-y, viens jouir en moi, fais-moi hurler. D’instinct, ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour ...
    ... bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son bout bien gluant de salive me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants. — Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !— Non, c’est toi qui es surdimensionné, je prends juste le temps de m’ouvrir à ta queue. Viens, encule-moi lentement maintenant. Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi timidement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse malgré l’embonpoint de son membre, Jérôme investit mes reins, et ses commentaires en disent long sur le plaisir qu’il en tire. Sa large queue me procure un plaisir fou en distendant mon trou au maximum alors que ses couilles sont encore loin derrière. — Ta queue est faite pour mes fesses, enfonce-toi bien profond, fais-moi jouir. Je veux que tu jouisses en moi, que tu m’inondes de ton foutre, brûle-moi de ta semence. Mon invitation le motive, et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, chaud comme un fer rouge. Ses couilles dans ma main, je l’attire en moi en lui disant de ne pas me ménager, de m’enculer sérieusement, de penser à son plaisir avant tout. Lui me dit qu’il se sent bien en moi, que je suis profond, qu’il ne pensait jamais pouvoir toute me la mettre, et qu’il ne tiendra pas aussi longtemps qu’il le voudrait tant il est ...