Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... mon gland, elle se concentre sur le corps ferme et figé de mon membre. — Je m’occuperai de ce sommet un peu plus tard, il me tente, il me fascine mais je veux d’abord croquer votre sucre d’orge. Dommage qu’il ne vibre plus ! Que lui arrive-t-il ? Est-il déjà sur le point de céder à mes caresses ? Elle penche son visage et plante sa bouche sur ma tige. Je sens ses dents sur ma peau fragile. J’ouvre les yeux. Elle me contemple. Je ne dois pas être rassuré car elle relâche aussitôt sa proie. Il est bien trop tôt pour me dévorer. D’une main elle agrippe ma queue et la prend délicatement entre deux doigts qui l’enserrent à peine. Elle les fait descendre et monter, régulièrement sans augmenter sa pression. Elle le dompte et l’apaise, s’arrêtant toujours au bord de l’ourlet de mon gland. — Allez ! Je passe aux choses sérieuses. Votre sexe résiste mais j’ai l’impression qu’il est crispé, bloqué, prêt à éclater si votre volonté l’abandonne.— C’est cela.— Oui, je vois que tous vos muscles saillent et se tendent. Pourtant mes doigts ne font que vous effleurer et parfois je me demande si je vous touche. Il sera bien dans ma bouche et tout au fond de ma gorge. Je joue avec lui. Mes doigts se sont transformés en un anneau qui chauffe à blanc une lanterne magique qui crépite à l’intérieur. Elle est surmontée d’un gros bulbe, plus volumineux qu’un bourgeon de camélia. J’affermis ma pression pourtant il ne souffre pas, au contraire, il me désire plus brutale encore. Je recouvre enfin la « ...
... jolie fleur », je la recouvre de cette peau qui sort je ne sais d’où. Je la déshabille en l’écrasant, je glisse tout le long de sa tige, je m’agrippe à toutes les aspérités. Je remonte aussitôt, toujours plus vite, mécaniquement, méthodiquement. J’accélère, je m’emballe ; elle me chauffe, elle me brûle, elle m’illumine. Oh ! Votre jus apparaît de nouveau, plus étincelant. Une goutte, puis une autre qui se présente. Votre queue, inépuisable, déverse un liquide abondant. Est-ce votre semence ? Je rêvais d’un jet puissant et abondant.— Non Catherine. Pas encore.— Alors venez dans ma bouche tout au fond de ma gorge. Je n’ai pas le temps de lui répondre. Ses lèvres se sont emparées de mon gland qu’elles ont recouvert jusqu’à son rebord. Sa langue le sèche aussitôt, le léchant et l’aspirant. Elle me pompe, m’aspire, me tète. Mes mains s’appuient sur le rocher, je dois puiser de la force quelque part car je sens que toutes mes forces m’échappent. Elle commence à m’avaler. Je vois mon membre disparaître entre deux lèvres luisantes couvertes d’une mousse toute blanche, mélange de ma liqueur et de sa salive. Elle m’absorbe toujours, doucement, millimètre après millimètre, bientôt sa bouche aura complètement englouti mon vit. Les yeux de Catherine sont fichés sur ma tige, elle sait que je vais abandonner la lutte. Ses mains se crispent sur mes fesses, elle pousse une dernière fois. Je cède, j’explose, je me déverse en elle en de gros bouillons que je devine aux secousses de ma queue qui ...