Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... coincés contre ses fesses mais ils ne sont plus douloureux comme au début de cet après-midi étincelant. Nos bouches se rencontrent et s’abandonnent au délice de se boire. Le corps de Catherine tressaille et gronde une dernière fois avant de palpiter comme si elle disposait de plusieurs cœurs tous en train de battre. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi enlacés, entremêlés, mon sexe toujours ferme fiché en elle, nos bouches et nos lèvres collées, chargées de se transmettre toutes les saveurs et les émotions que nous venons de vivre. J’ouvre enfin les yeux. La plage s’est animée, un couple avec trois enfants s’avance en direction de notre rocher. Ils n’ont certainement rien vu de notre échange charnel. Et puis s’ils avaient aperçu quelque chose, qu’est ce que cela pouvait faire maintenant. Je parle au creux de l’oreille de Catherine, elle rit. — C’est comme hier, sommes-nous maudits à ce point là ! Il est vrai que nous bravons la loi, toutes les conventions, toutes ces valeurs et tous ces interdits, mais quel bien immense cela produit en soi ! Nous nous sommes séparés, centimètre après centimètre, membre après membre, prolongeant autant que possible notre étreinte érotique. Je me suis retiré en dernier mais elle a encore pris mon sexe entre ses doigts, le nettoyant avec soin et le caressant tendrement en le contemplant. Elle ...
... m’aide à remettre mon slip de bain et glisse avec précaution ma tige à l’intérieur. Elle grossit aussitôt mais raisonnablement, pas de quoi affoler ceux qui n’allaient pas tarder à arriver à notre hauteur. Je m’occupe de Catherine, lui enfile son slip après avoir frôlé ses lèvres toutes douces et ruisselantes puis baisé une dernière fois son clitoris toujours dévoilé. Pour le soutien-gorge, elle me dit « plus tard, lorsque nous nous approcherons du sable sec et de la foule ». Elle désire qu’ils soient encore libres et qu’ils ne cessent de m’exciter. Une fois allongés sur nos serviettes nous avons parlé un peu de nous, de tout, de rien, du soleil, de ses bienfaits, de la mer, de tout cet univers complice à jamais d’Éros, notre inspirateur et compagnon. L’heure est venue de nous séparer. Elle s’habille la première, dépose un baiser léger sur ma bouche et se dirige vers la digue. Elle se retourne. — Jean-Marie, demain matin, 23 rue de la Chapelle. Je n’ai pas le temps de lui répondre, elle est déjà loin de moi. Je m’allonge sur le ventre, je ferme les yeux et je suis de nouveau sur ce rocher maintenant recouvert par la marée montante. Ma bouche se délecte encore du parfum intime fascinant de Catherine et mon corps navigue toujours dans l’extase indescriptible de ce moment. Quelle nouvelle aventure érotique endiablée m’attend, nous attend demain !