Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... elle souhaitait à la fois me repousser et me conserver en son creux à jamais. — Frottez, frottez encore ! N’ayez pas peur. Titillez-le ! Il ne va pas se briser ou se déchirer. Sucez-moi, plus fort encore. Plus vite, toujours plus vite. Pincez mon bouton. Aïe ! Oh oui ! Oui ! Jean Marie croquez-moi ! Enfoncez-vous encore, forcez, forcez-moi ! Vous voyez comme je vous dévore moi aussi, comme je vous engloutis. Voilà, vous le possédez totalement. Oh non ! Pas toute votre main. Pas maintenant, pas aujourd’hui, uniquement vos doigts. Je fonds, je me creuse. Mon ventre me brûle, toutes mes entrailles se déchirent, mes seins vont exploser. Je ne relâche pas ma pression même si je suis à bout de forces. Je demeure agrippé à l’aspérité incroyablement dure qui ferme sa cavité, étrangement sèche soudainement. Ma bouche douloureuse suce à en perdre haleine son clitoris qui incendie mes lèvres. Je crois que je vais périr étouffé entre ses jambes. D’un seul coup ses cuisses se plaquent violemment contre ma tête et broient mes épaules. Elles se relâchent tout aussi brutalement pour claquer de nouveau. Je reste fiché en elle, endiguant un flot de sucs qui s’engouffre au fond de ma gorge. Je suis prisonnier de son volcan et de son éruption. Une lave bouillante inonde mes doigts qui retrouvent peu à peu leur liberté. Catherine se crispe encore plusieurs fois. Elle se tend, se détend, allonge ses jambes puis se recroqueville sans jamais me laisser le temps de me redresser et de reprendre ...
... complètement ma respiration. Elle crie, elle prononce des mots que je ne comprends pas. Je crois qu’elle pleure. Je ne sais pas combien de temps durent ses spasmes et ses convulsions de moins en moins prononcés. Elle s’apaise enfin. Je peux dégager le haut de mon corps endolori. — Enlevez votre main, mettez votre queue à la place ! Il faut qu’elle aussi partage ce festin. Je me redresse et sans que j’aie le temps d’esquisser un mouvement, Catherine s’empare de ma verge qu’elle branle frénétiquement quelques secondes afin de lui faire adopter une posture conquérante, qu’elle retrouve très vite. Dès qu’elle la considère prête à l’honorer, elle la prend et l’introduit dans sa vulve. — Regardez ! Elle a totalement disparu. Je l’ai dévorée toute crue. Elle est bien là, dans ma caverne. Poussez encore que je sente votre pubis tout contre le mien. Je donne un coup de reins, je demeure planté en elle. La raideur que mes doigts avaient rencontrée s’est estompée. Toutefois son vagin, bien que trempé, a conservé une certaine fermeté et mon membre en ressent toutes les vibrations qui le traversent encore. Nous nous étreignons puissamment entre nos bras, comme si nos deux corps devaient se fondre l’un dans l’autre. Nous nous emboîtons sur ce morceau de rocher, nos respirations sont calmes et accordées, nos souffles courent sur nos épaules baignées de sueur et fraîches en dépit du soleil. Je lui écrase les seins, je les broie, elle resserre pourtant son étreinte. Mes testicules sont eux aussi ...