Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... bouche, puis de ma langue, elle réagira sûrement. Son dos m’affole réellement et je ressens de drôles de palpitations derrière mes tempes. Je l’imagine vêtue uniquement d’un string trempé un peu lâche, qui roule et bouge sur sa peau découvrant l’espace de trop brèves secondes ce que mes yeux convoitent. Mais ce qui me titille le plus c’est sa paire de fesses. Deux ballons fermes dont les muscles se contractent ou frémissent lorsqu’elle bouge. Accolés tout en haut, ils s’évasent peu à peu à leur base juste au-dessus des cuisses et donnent naissance à un entonnoir qui incite à venir lui rendre visite. Ils sont séparés l’un de l’autre par une faille profonde, si profonde que je ne distingue pas le tissu de son slip de bain qui s‘est engouffré entre eux. Que j’aimerais bien les écarter après avoir étalé mes mains sur ces masses vivantes, mes pouces justes au bord de la coupure ! J’éloignerais alors les deux globes, je les repousserais loin l’un de l’autre, ils ne pourraient plus se frôler, se cajoler ou se fermer brusquement ; au contraire ils accepteraient cette séparation obligée. Je sais qu’il y a quelque chose de niché tout au fond de cette faille. Ce trésor j’adorerais y poser ma bouche, l’encercler de mes lèvres, y darder ma langue qu’elle parte à sa conquête. Mes pensées se heurtent à la réalité, je suis arrivé à la hauteur de Catherine. Elle a toujours su que je la rattraperais à grandes enjambées. Elle se doutait de l’effet qu’allait produire sur ma personne sa paire ...
... de fesses, somptueuse, se dodelinant au rythme de ses pas, ce mouvement harmonieux allait m’hypnotiser. Je marque le pas, comment l’aborder, nous ne nous sommes presque rien dit hier après-midi. Je n’ai pas le temps de prononcer le moindre mot, c’est elle qui s’adresse à moi en s’arrêtant et en me faisant face. Je manque de buter sur elle et de l’entourer de mes bras. — Vous vous êtes précipité. Vous étiez donc si pressé que cela de m’honorer, dévorer, car si j’en juge par vos dispositions actuelles, c’est ce qui va m’arriver. Il est ainsi depuis le départ ! Pas raisonnable, vous ne trouvez pas ? Et si vous aviez rencontré quelqu’un ? Qu’est-ce qu’il est attirant ! Bien raide, un vrai morceau de bois comme on en ramasse parfois sur la plage. Est-il au maximum de son érection ? Je le crois. Comme il est collé à votre ventre, parfaitement encadré par une toison intense et noire.— Catherine, il ne vous plait pas ainsi ?— Oh que si ! Il aurait été complètement épilé, je vous aurais trouvé trop efféminé. Vous paraissez au mieux de votre forme. Mes fesses vous ont ébloui à ce point ? Ce sont elles qui vous ont incité à aller plus vite ?— Elles sont splendides. Pareilles à deux gros fruits qui n’existent pas dans la nature, deux fruits qui à un moment ne faisaient plus qu’un. Ils se sont légèrement détachés et m’ont révélé une faille saisissante. J’ai rêvé quelques instants que j’y apposais mes mains et que je commençais à me glisser entre vos fesses.— Ne me flattez pas. Elles ne me ...