1. Jeux de lèvres tout au bord de l'eau


    Datte: 09/02/2019, Catégories: fh, couple, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, portrait,

    ... satisfont pas, comme toutes les femmes. Je les trouve trop bombées, trop féminines en somme. Mais je ne vous en veux pas, comme vos homologues vous admirez tout ce qui vibre et frémit et vous ne portez pas le moindre intérêt au reste. Voyez-vous, je les préfèrerais plus effacées, plus anodines. Quant à poser vos mains dessus, pas tout de suite ! Une palpation me comblerait portant. Là, largement déployées elles capteraient toute l’énergie qui circule dans cette masse et elles commenceraient à se déplacer, à entamer leur découverte de cet univers si propice à de longs, très longs voyages… Plus tard, certainement.— Catherine, vous me faites languir. Je suis déjà en fusion, allumé par cette part de votre intimité que vous m’avez offerte ? Craigniez-vous que je me sauve ou que je m’esquive ? Vous désiriez me capter immédiatement, sentir que quelque part j’étais déjà votre prisonnier. Vos filets sont déployés et les maillons si serrés que je ne peux pas leur échapper. En fait depuis hier soir vous avez pris possession de moi. Oh ! C’est une capture plutôt douce, vous avez introduit en moi quelque chose qui fait que vous m’attirez.— Jean Marie il manque de générosité, ce soleil d’automne, mais il me brûle quand même. J’aurais dû marcher à reculons afin qu’il rougisse et porte à incandescence mes globes que vous vantez à merveille. Mais dites-moi, nous ne sommes pas à égalité. Alors que vous avez déployé votre membre dans toute sa plénitude, je ne vous offre que mon dos. Je me ...
    ... contente du minimum. Ce n’est pas juste. Que pourrais-je faire ?— Je ne sais pas !— Voyons… J’ai envie de libérer mes seins. Je suis certaine que vous allez apprécier encore plus que mes fesses. Et si c’était vous qui enleviez mon soutien-gorge ? Vous savez vous y prendre ?— Oui.— Prudence toutefois, je ne vous ai pas accordé l’autorisation de toucher, enfin pas encore.— D’accord, répondis-je embarrassé, craignant de me montrer maladroit ou trop empressé. Je me suis approché d’elle. Elle est aussi grande que moi et nos yeux se sont croisés, étincelants et mouillés, des pierres de lumière. Ses épaules sont hautes et dégagées. Sa poitrine est enfermée dans un soutien-gorge échancré, aux bonnets petits, pour retenir deux fruits de chair lourds. Elle se soulève au rythme de sa respiration qui s’accélère légèrement. Catherine se tient ainsi à quelques centimètres de moi, presque à nous frôler, à nous frotter comme deux allumettes. Elle me signifie, « regardez-les, comme ils sont volumineux et gorgés d’une sève qui ne cesse de s’engouffrer en eux ». Ils sont impatients, ils attendent que vous les délivriez. — Vite ! Ne musardez pas en route. Il y a tant d’autres découvertes à entreprendre aujourd’hui. Passez derrière moi ! Je m’exécute. — Vous voyez, il y a quelques années, je trouvais mes seins maigres, comme sans aucune matière à l’intérieur. J’étais très exigeante envers moi-même, jalouse de toutes ces femmes que je croisais dotées d’une poitrine magnifique, même si certaines ...
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