1. Peau de bique


    Datte: 11/02/2019, Catégories: fh, voisins, lunettes, sales, intermast, Oral pénétratio,

    ... sentait démasquée, mise à nue, il fallait qu’elle s’en aille. Elle fit mine de se lever mais n’en avait plus vraiment la force ni le courage. — J’crois qu’le mieux c’est qu’tu m’attendes là. J’en ai pour pas longtemps, mais les chèvres aiment pas attendre. Une fois seule dans la pièce, elle se remit à cogiter à grande vitesse. Je ne vais quand même pas faire ça ! Elle le revoyait en train de se gratter les couilles. Quand même, devant une femme ! C’est pas des manières. Et puis sa grosse barbe grise et puis tout ce bordel et toute cette saleté, dix mille raisons pour partir. Mais comment avait-il deviné qu’elle avait besoin d’amour, alors que jusque là tout le monde semblait l’ignorer. Un hippie, un dégénéré, il devait coucher avec d’autres femmes… Des femmes faciles ! Elle était bien décidée à ne pas céder à ses avances. Mais, d’un autre côté, elle avait très envie qu’il la baise. Tout s’emmêlait dans sa tête remplie d’idées confuses. Un instant elle imagina même qu’il allait la prendre là, sur cette table, avec sa peau de bête sur le dos. Cela la fit sourire. Cela faisait très longtemps qu’elle n’avait pas ressenti une envie sexuelle aussi forte. La dernière fois c’était avec le camionneur qui l’avait tellement bien fait jouir lors de leur première rencontre. Il revint bientôt et la trouva enchevêtrée dans ses pensées. Il posa ses gants sur une chaise et se dirigea directement derrière elle et lui glissa sans plus attendre les mains sur ses épaules, le contact la fit ...
    ... frémir : — Détends-toi ma douce, l’amour c’est un partage Elle n’émit aucune objection lorsqu’il glissa lentement ses mains dans son soutien-gorge et titilla ses petits seins. Elle devait être folle d’accepter ça. Mais elle le trouva finalement très doux et elle se laissa faire. Il se pencha vers elle et força l’entrée de sa bouche avec sa langue. La moustache et la barbe qui la piquaient et la grattaient, cet être viril, mais pourtant cette langue si douce, un délice. Elle fut à peine surprise, lorsqu’elle se releva, quand elle vit son cône pointer devant son pantalon. Tout juste en vint-elle à la curieuse conclusion qu’au vu de son apparence, il ne devait pas mettre de slip. Elle s’allongea sur la table, bien sagement, comme dans un rêve et il lui retira sa culotte et lui brouta son abricot poilu. Le frottement de la barbe sur ses cuisses la rendit tout à fait folle. Elle écarta un peu plus les cuisses et se laissa bouffer en fermant les yeux. A peine eut-elle joui, qu’elle sentit le pieu de chair glisser en elle. Lentement mais inexorablement, il investit sa grotte. Ensuite, de longs mouvements en profondeur lui firent perdre pied. Elle rouvrit les yeux. Il était au-dessus d’elle, toujours en peau de bête, il se penchait de temps en temps pour lui mordiller les tétons, doucement mais avec force. C’était bon, très bon, la jouissance venait en elle, vite, très vite. La sentant partir, il accéléra la cadence ce qui la fit venir encore plus vite. Finalement elle explosa une fois, ...
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