1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... je m’attendais à recevoir une petite chose malheureuse et contrite – bonjour la corvée de consolation - et c’est une femme rayonnante qui m’est apparue, dont je découvre maintenant qu’elle n’hésite pas à employer avec naturel un vocabulaire audacieux. À quoi est dû ce miracle ? Elle eut un sourire mystérieux : — À ma liberté soudainement retrouvée et à la « mauvaise » influence de ma colocataire. Elle a remodelé mon caractère, mes idées, ma façon de penser, de m’exprimer. Je te reparlerai d’elle plus tard. C’est une fille sensass !— Bon, d’accord. À Madagascar, la suite du film, c’était quoi ?— La suite du film ? Il ne l’a pas aimée. J’ai pris la décision de le quitter. Il a failli me frapper le soir où je l’ai informé que je rentrais en France et qu’il y aurait une procédure de divorce.— Il t’aurait cognée ?— Oui, mais il s’en abstenu car je disposais de l’arme absolue. Lorsqu’il a levé la main, je l’ai averti : on arrête là, tu me rends ma liberté, tu t’engages à me foutre la paix. Bref, tu m’oublies, ou…— Ou ?…— Il est employé par une ONG qui soigne particulièrement son image de marque et ne pourrait se permettre le moindre scandale. Son contrat contenait d’ailleurs une clause de bonne moralité très stricte. Je l’ai menacé de tout déballer à ses supérieurs et de porter l’affaire sur la place publique avec photo sur le net. Illico il perdrait son job et serait grillé pour retrouver du boulot ensuite. Les listes noires, ça existe. Deux semaines plus tard, j’étais de ...
    ... retour en France.— Cela fait combien de temps ?— Six mois. J’étais interloqué et les questions fusèrent : — Depuis si longtemps ? T’aurais pu me contacter plus tôt. Tu as retrouvé du boulot ?— Oui, depuis quatre mois. J’assure les tâches administratives dans une usine d’agroalimentaire. C’est une boîte sympa, le job est intéressant et bien payé pour la région. Je partage un quatre pièces avec une colocataire, je vais à pied au boulot. Que demander de plus ?— Pourquoi n’as-tu pas tenté ta chance chez nous ? On t’aurait reprise, tu avais laissé un excellent souvenir.— Justement, les souvenirs… Cela m’aurait rappelé ma vie d’avant. J’ai préféré chercher ailleurs.— Les tourments éloignés, tu es heureuse, maintenant ?— Très…— Le divorce ?— Il n’a pas eu le choix : consentement mutuel. Tout sera bouclé en septembre.— Tu viens d’évoquer les souvenirs d’avant, j’en fais partie, non ? Pourquoi as-tu voulu me revoir ?— Parce que tu as toujours été très gentil avec moi, parce que tu ne m’avais pas laissée indifférente et… Elle marqua l’arrêt. — Oui ?— … et parce que j’ai quelque chose à me faire pardonner.— Ça, tu m’en as touché un mot au téléphone, mais je ne vois pas de quoi il retourne.— Euh… Voyons…comment dire… c’était chez toi…— Est-ce que tu ferais allusion à l’incident qui a eu lieu le dimanche où vous êtes venus me rendre visite ?— Merci, je n’osais pas mettre ce sujet sur le tapis. J’en ai eu tellement honte que je tenais à absolument à faire amende honorable. Je ris : — C’est ...
«12...567...15»