1. Ma Belle-mère Première fois


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... belle mère comme je le faisais souvent lorsque j’étais à Paris pour voir si elle allait bien, si elle avait besoin de quelque chose. Au moment de garer ma voiture devant leur pavillon, je vis sortir un voisin que je connaissais bien. Un retraité de la préfectorale avec lequel mes beaux-parents entretenaient des relations depuis son arrivée dans le quartier. Je ne l’aimais pas beaucoup et chaque fois que je le pouvais, je l’évitais. Mais cette fois, il pleuvait et, ne voulant pas faire demi-tour pour le laisser passer, je le croisai dans le jardin. Lorsqu’il me vit et me reconnut, je lui trouvai un air bizarre, très bizarre même. Il eut même un mouvement, comme pour faire demi-tour vers la maison, mais je l’avais déjà dépassé, il poursuivit son chemin. Je sonne un petit coup à la porte, j’entends alors derrière la porte : « C’est toi Eugène ? » Surpris qu’elle puisse ainsi tutoyer cet homme et surpris par l’étrange attitude de celui-ci je maugrée : « Huuuum » ce qui ressemble un peu à un « Oui ». La porte s’ouvre : le peignoir largement ouvert, ma belle-mère est nue, entièrement nue sous le peignoir. Cette fois, elle complètement stupéfaite, son regard est hagard, elle ne sait plus quoi dire, plus quoi faire. Elle a déjà compris que j’ai compris et ne sait pas quelle attitude adopter. Surtout, ne pas brusquer les choses, ne rien faire qui pourrait la faire partir en courant vers sa chambre, sa salle de bains ou tout autre lieu où elle aurait l’occasion de se ressaisir. Je dois ...
    ... pourtant fermer la porte, et pour cela entrer, et elle est au beau milieu de cette porte qu’elle vient d’ouvrir à celui qu’elle venait de quitter, son amant. « Rentrons et parlons… » lui dis-je. Elle obtempère et fait deux pas en arrière, toujours sans rien dire, toujours sans refermer son peignoir. J’avance et referme rapidement la porte, je ne prends même pas le temps de la fermer à clef, juste la pousser, que personne ne nous observe de l’extérieur. Plus tard, je prendrai le temps de la fermer à clef, mais pour le moment je dois faire avancer mes pions, pousser mon avantage tant qu’elle reste sans réaction. Si j’avais 20 ans de moins, je banderais déjà comme un cerf et je pourrais la culbuter sur n’importe quoi avant qu’elle ait le temps de réagir, de sortir de la fascination que la situation exerce sur elle. Mais là, je ne bande pas, l’émotion de la situation aurait même plutôt tendance à me paralyser et je ne peux me donner le ridicule de l’ouvrir devant moi pour lui présenter ma tripe molle. « Mais ce n’est pas ce que vous croyez, Monsieur S. était juste venu voir si j’avais du pain en trop pour son petit-déjeuner et j’allais prendre ma douche… » « Mais vous l’avez appelé Eugène, et vous lui ouvrez la porte presque nue… » Non, décidément, ses arguments, elle s’en rend bien compte ne risquent pas de me convaincre ! « Paul, je vous le demande, ne racontez jamais ce qui vient de se passer à Françoise. Vous savez, je tiens à l’image qu’elle a de sa mère. » Et voici donc la ...
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