Ma Belle-mère Première fois
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
extracon,
alliance,
fépilée,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
rasage,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
... pour me retirer par le couloir. L’après-midi, elle vint à la plage mais ne mit pas son nouveau maillot de bain en prétextant qu’elle avait « un trop gros derrière » pour le porter. Les jours qui précédèrent leur départ s’écoulèrent sans nouvel incident. Les lèvres toujours pincées, la tête renversée en arrière, elle semblait avoir définitivement repris son personnage caricatural de « Madame la Générale ». En 1992, quelques mois après mon divorce mon beau-père décida qu’il était temps pour eux de se rendre en maison de retraite, il avait 75 ans, elle en avait 69. Comme elle ne voulait pas quitter sa maison et que lui ne voulait plus y rester, ils convinrent qu’il irait seul dans une grande et belle maison de retraite pour officiers et qu’elle resterait seule chez elle tant qu’elle le pourrait. Malgré les difficultés nées de notre divorce, je tentais de faire intervenir Françoise pour sauver le couple de ses parents. De Floride où elle habitait maintenant Françoise me fit remarquer qu’elle ne pouvait faire grand-chose. L’attitude de ses parents qui m’avaient plutôt soutenu après son départ ne l’inclinait pas à beaucoup d’indulgence à leur égard. C’est à ce moment que je compris que notre séparation était sans doute la meilleure des choses qui pouvait m’arriver. J’arrivais à convaincre mon beau-père que n’habitant pas très loin de chez eux, je pouvais encore m’occuper d’eux et, avec la complicité de ma femme de ménage veiller sur eux Très vite, touché par la maladie ...
... d’Alzheimer, mon beau-père perdit complètement la tête et ne donna jamais suite à son projet de départ en maison de retraite ce qui pourtant eut à ce moment été une bonne solution pour lui. J’allais le voir aussi souvent que je le pouvais lorsque j’étais à Paris, parfois plusieurs fois la semaine. Dans ses moments de lucidité il me disait « et merde, pour un planqué, vous n’êtes pas si mal que ça mon garçon. Finalement, j’aurais bien aimé avoir un fils comme vous… » Sa mort, un jour de 1994, me sonna. Même si je l’attendais, même si nous n’avions jamais été vraiment amis j’avais fini par l’aimer tant il était pitoyable, esseulé devant la mort. Ma belle-mère n’avait pas l’air outre mesure désespérée et ses larmes me semblaient de vraies fausses larmes de crocodiles ! Françoise, très américaine, fit un saut entre deux avions le jour de l’enterrement, puis un mois après pour la succession chez le notaire. Elle parut complètement surprise lorsque le notaire lut le testament de son père qui laissait à sa mère par le biais de la communauté universelle la totalité de ses biens et qui me demandait de veiller au respect de ses dernières volontés. Il me léguait pour me remercier le battle dress avec lequel il avait sauté sur la France lors du débarquement de juin 1944. Connaissant la valeur qu’il attribuait à cette relique, je m’effondrais en larmes sur mon fauteuil dans le bureau du notaire avant de me ressaisir : il n’aurait pas aimé que je pleure ! Quelques jours plus tard, je me rends chez ma ...