1. Ma Belle-mère Première fois


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... plaisir à mon sexe. Quelques semaines plus tôt j’avais eu de cette femme une image à la fois rébarbative et prometteuse et ce jour là, elle venait de se raser le sexe devant moi sans la moindre hésitation, comme une opération déjà plusieurs fois vécue. Quand je dis que c’était devant moi, je veux dire que je la voyais devant moi car elle ne me voyait pas, ne pouvait pas imaginer que j’étais à quelques décimètres d’elle. Elle était nue comme un ver et regardait son corps dans le miroir sans tain derrière lequel je me cachais. Ses seins la préoccupaient. Sans doute n’avaient-ils plus leur tonicité de leurs vingt ans mais ils étaient encore bien fermes et bien remplis. Elle se regardait dans la glace les caresser comme distraitement d’abord, puis de manière de plus en plus attentive ensuite, y prenant maintenant manifestement du plaisir. Pendant que sa main gauche passait d’un sein à l’autre, les soupesant, les caressant, en tâtant les tétons au milieu de leurs belles aréoles marron clair, la main droite allait caressant son ventre rebondi et légèrement plissé au-dessus du pubis. Puis la main droite se fit de plus en plus insistante sur ce pubis qu’elle venait de raser s’arrêtant de plus en plus prés de sa caverne secrète qu’elle évitait manifestement de toucher. Je n’en pouvais plus de la voir se caresser, et j’en faisais autant avec de plus en plus de vigueur. Elle me prit de court lorsque soudain je la vis retourner au petit paquet qu’elle avait emmené avec elle et en ...
    ... sortir, non je ne pouvais pas me tromper, un godemiché. Elle fut aussitôt couchée sur le dos sur le drap de bain, cuisses écartées, talons repliés sous les fesses. Le godemiché fut vite absorbé par son sexe, comme aspiré par lui. La main droite le rentrait et le sortait en cadence pendant que la main gauche lui caressait les seins. Eperdu d’excitation, je décidai de frapper un grand coup. Il me semblait qu’elle n’avait fermé ni la porte de la salle de bains donnant sur sa chambre, ni la porte donnant de la salle de bains sur le couloir. Sans bruit, je me rendis vers cette dernière porte, puis feignant de me croire seul, je rentrais vivement dans la salle de bains. Yolande était toujours nue en train de se donner du plaisir. Elle parut stupéfaite de me voir ainsi pénétrer dans la salle de bains. Et moi je devais paraître stupéfait de la découvrir là. Nous nous sommes regardés quelques secondes sans rien dire puis assez bêtement je dis : « Oh, excusez moi, je vous pensais partie avec ma mère et Françoise ». Mais je ne détournais pas les yeux de son corps offert au plaisir de ses doigts et de son gode. Elle ne pouvait pas ne pas s’en rendre compte et finit par me dire : « Moi aussi, je me croyais seule », puis me montrant le gode qu’elle venait d’extraire de sa vulve dégoulinante « Je l’ai trouvé dans la salle de bains de votre mère dans le placard qu’elle m’a donné pour mettre mes affaires. » Pendant qu’elle se relevait pour s’échapper en direction de sa chambre, je faisais demi-tour ...
«12...789...17»