Pappy bi nostalgie
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... parmi les plus anciens, c'est bien connu dans la maladie d'Alzheimer. Comme la première fois avec une fille, la première sodomie est un de ces souvenirs marquants qui ne se laisse pas facilement effacer. Alors oui, peut être que j'ai inventé quelques petites choses pour masquer un détail évanoui, ou pour enjoliver une histoire qui n'a pas été aussi belle que dans mon récit. Mais globalement, tout le fond de l'histoire est vrai. C'est vrai que j'ai longtemps hésité entre filles et garçons, qui portaient un intérêt égal à mon physique androgyne d'adolescent. C'est vrai que j'ai partagé une intimité plus qu'amicale avec un garçon de mon âge, quand j'étais résident en cité universitaire, allant jusqu'à des petits "services" sexuels en périodes de disette. C'est tout aussi vrai que le film "Le dernier tango à Paris", qui venait juste de sortir en salle, nous a donné les clés d'une pratique mythique. Au collège, j'avais déjà essayé de pénétrer un copain de classe consentant, mais j'avais dû reculer devant l'étroitesse et l'aridité du ...
... lieu, même en y mettant un peu de salive. Et les cris du garçon risquaient d'ameuter le voisinage. C'est vrai aussi qu'à cette époque on ne connaissait pas le sida, qui ne commencerait ses ravages que des années plus tard, et la seule MST dont on parlait était la syphilis, dont nous savions être indemnes. Pas de capote en ces temps bénis! On se jouissait dedans à tour de rôle et sans retenue, pour le plus grand bonheur des deux parties et le malheur des sous-vêtements, qui en gardaient une trace parfois difficile à effacer. L'éjaculation interne, cum inside comme ils disent, est un spectacle dont je ne me lasse pas dans les vidéos porno. Toute ma vie j'ai détesté les capotes qui m'empêchaient de jouir confortablement, allant même jusqu'à faire mal quand le réservoir est trop petit et la pression trop forte. Je bénis l'époque où nous voulions des enfants et où je pouvais jouir dans le vagin de mon épouse, sans contrainte. Elle non plus n'aimait pas la "viande sous cellophane"... Mais aujourd'hui, les enfants, entrez couverts...!