1. L'expression de ses désirs.


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, gros(ses), groscul, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral

    ... comme je n’ai eu aucune "réclamation" par la suite, je suppose que je n’ai pas dû faire trop de conneries ?!… Les six heures de la matinée de travail, je les accomplis avec la force de l’habitude… Il faut bien dire que je "plâaane" complètement ! Tous les gens que je croise, je les vois derrière le voile qui recouvre ma vue. Sur ce voile, je vois en permanence le visage de Charlotte. A la pose de midi, pour le déjeuner, Martine, qui n’a pas cessé de la matinée de me jeter des regards rêveurs, me propose de partager le casse-croûte qu’elle s’est préparé quand je lui dis que j’ai oublié le mien. D’ordinaire, elle n’aurait jamais fait ça. Elle sait trop bien combien je peux être glouton. Je la remercie et grignote plus que je ne mange. Je la remercie encore et me lève pour regagner mon poste de travail, et tombe nez à nez avec Odile. — Fred, rassied-toi deux secondes, s’il te plait.— …— Ecoute-moi, et ne te méprends pas !… Je ne t’engueule pas, d’accord ?— D’accord.— Je suis allé voir le "Grand-Manitou" et il est d’accord avec moi… Il vaut mieux que tu rentres chez toi, maintenant !…— Pourquoi ?— C’est pas important, pourquoi… Ne t’inquiète pas, on arrivera bien à "boucler" sans toi… Vous pensez qu’elle me materne un peu, et c’est vrai. Mais, elle a toujours été comme ça avec moi. Peut-être est-ce dû à ma petite taille… ou à la façon que j’ai d’"aborder" les "adultes" ?!… Je hoche la tête en signe d’assentiment et me lève. J’ai compris ce qu’elle voulait me dire et que la ...
    ... pudeur lui interdisait de nommer franchement. Je ne me souviens pas des pas qui m’ont mené jusqu’à chez moi - heureusement que je peux rentrer à pied ! Je ne me souviens pas, non plus, être rentré chez moi, m’être déshabillé, pour une sieste… que je qualifierai de salvatrice. Toujours est-il que le rêve que j’ai commencé en quittant l’appartement de mon amour, juste avant d’aller au travail, a continué instantanément. Je me souviendrai toujours de cette journée idyllique ! C’est Charlotte qui vous parle, maintenant… Il n’arrivait pas à comprendre ce qui m’était passé par la tête, alors il m’a laissé son ordi. J’ai relu les deux textes précédents et je suis assez d’accord avec sa façon de présenter les choses. Son romantisme me donne chaud quelque part, et je l’adore pour ça ! Je me suis réveillée, ce matin, et je ne savais pas où j’étais. Pourtant, c’était bien mon salon, mon clic-clac ! Chez moi. Je n’ai pas réalisé, tout de suite, qu’il manquait quelque chose ici. Puis, je l’ai cherché partout. Puisqu’il vous a tout dit, je me dois de faire comme lui ! J’ai pleuré quand je me suis rendu compte qu’il n’était pas là. Puis les pleurs se sont changés en sanglots. Douloureux. J’avais encore envie de pleurer, mais ma peine s’est estompée d’elle-même. Et j’ai tourné et viré et erré comme une âme en peine pendant un bon moment. Jusqu’à ce que j’aille à la cuisine où j’ai instantanément vu la fleur dans son petit verre. Il y avait un petit papier dessous. Je me suis jetée dessus, et j’ai ...
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