1. La fin du Vladimir Monomaque


    Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fhhh, bateau, Masturbation mélo,

    ... capricieuse, parfois abrupte. On dirait d’elle qu’elle porte la culotte quand bien même elle n’en aurait pas. Du reste, c’est elle qui donne le signal de départ, imprimant l’allure, jusqu’au bateau. Les autres sont au nombre de treize, Misha non compris bien sûr, ni le capitaine (alité dans sa chambre), ni Ivan (avec Annick), ni Luka (en prison). Il y a aussi les deux femmes, Wanda et Laure. La dernière est une pute d’une quarantaine d’années qui s’offre à qui peut payer, l’autre est une jeune femme, vingt ans tout au plus, séduite par Alexeï, un jeune matelot russe avec lequel elle vit désormais et veut vivre aussi longtemps que Dieu voudra. Ils sont rassemblés dans la salle à manger. Si autrefois officiers et simples matelots avaient des tables spécifiques, ce temps n’existe plus. Dorénavant, chacun s’installe où bon lui semble, sans égard pour le rang ou le grade. La discipline n’est plus ce qu’elle était, mais il faut admettre que sur ce rafiot, ils sont tous dans la même galère. ____________________ Le couple est attendu. Les regards se tournent vers eux. Caro est éblouissante, elle rayonne. Elle ne pourrait pas être en meilleure forme. Dument apprêtée et pomponnée de surcroît. Certes, c’était d’abord pour séduire Misha, mais les autres n’auraient pas plébiscité qu’elle aurait été déçue. De ce point de vue, pas d’ombre au tableau : tous sont fascinés. Misha joue le propriétaire ; il enlace la taille de Caro et l’entraîne de table en table. Il est fier de sa conquête. Il ...
    ... pavane, et ne déteste pas montrer à quel point sa compagne est bien apprivoisée, à sa dévotion. Caro ronronne… Pour un peu, elle ferait le poirier pour lui plaire. Ferait beau voir… La jeune femme en oublie parfois la prudence. Kirill, un matelot, un sans-grade, si tant est que le statut importe, est ébloui tout à fait par inadvertance. Un instant d’étourderie de la part de Caro. L’homme en vient à suspecter l’absence de la dentelle. Le soupçon l’émoustille, des pensées lubriques germent et prolifèrent. L’idée jaillit, le smartphone surgit. — J’adore les photos souvenir, annonce-t-il pour justifier son manège. Il mitraille avec persévérance. L’homme passe pour bizarre, pas aidé au niveau du chapeau ; on s’étonne un moment, puis on ne prête plus attention. L’opiniâtreté de Kirill finit par payer. La preuve, en photo, ne laisse pas place au doute. Encouragé, il persévère. La chance lui sourit encore – elle sourit toujours aux audacieux – mais il est littéralement lessivé, dépassé par l’importance de sa découverte. Il n’y tient plus et file aux toilettes pour essorer l’excès d’effervescence accumulé. Il se branle en matant l’écran de son smartphone. — Ah, la salope, la salope… ne cesse-t-il de répéter en astiquant son énorme manche. Gorgée de sang, sa queue est gigantesque. Elle finit par exploser, éjectant de lourdes giclées de sperme dont la trajectoire amorce une orbite ascendante avant de replonger pour s’écraser sur la cuvette des WC. Quoique vidée de son jus et désamorcée, ...
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