1. La fin du Vladimir Monomaque


    Datte: 28/02/2019, Catégories: h, fhhh, bateau, Masturbation mélo,

    ... vise plus spécifiquement une clientèle de personnes âgées ou handicapées de quelque manière, que les employés de l’association assistent quotidiennement ou ponctuellement, comme il est nécessaire. Ces employés sont une centaine, essentiellement des femmes à 99 %. Il y a effectivement un employé, mais si peu viril qu’on aurait tout aussi bien pu l’oublier. Les prestations que l’association fournit sont facturées aux bénéficiaires, parfois appelés « les clients ». Ceux-ci ne seraient assurément pas si nombreux s’il n’y avait les aides publiques octroyées sous conditions par le Conseil départemental, la sécurité sociale, les mutuelles et d’autres bailleurs soucieux d’humanité et de santé publique. En l’occurrence, c’est la collectivité territoriale qui paie pour les marins. — J’ai demandé à Michèle de s’occuper des accréditations avec le port ; je t’ai mise sur la liste, reprend la chef à l’intention de sa subordonnée. Michèle est la secrétaire ; c’est elle qui se charge de la paperasse. L’entrée dans le port, nécessite en effet quelques procédures et autorisations préalables. Les véhicules et les personnes autorisés à pénétrer dans l’enceinte portuaire sont dûment identifiés, répertoriés et estampillés. La patronne a une manière bien à elle de donner ses ordres. Bien qu’elle ne les ait pas formellement exprimés, ils sont clairs, et Caro ne s’y trompe pas : elle doit superviser la mission. Michèle va demander un badge pour elle, au même titre que pour les autres employées ...
    ... habilitées, amenées à franchir l’entrée du port : à savoir les conductrices des camionnettes aménagées pour la livraison des repas. Caro devra animer l’équipe, et le cas échéant les assister ou suppléer si nécessaire. ____________________ Les conductrices habilitées pour le port sont au nombre de trois qui alternent pour assurer un service continu, le midi, le soir, et durant le week-end. Toutes trois sont des amies de Caro, mais Annick l’est plus encore que les deux autres. — Tu crois qu’on aura une prime ? demande Annick à Caro.— M’étonnerait !— Ah merde, dommage ! Au fait, t’as vu l’augmentation de la taxe d’habitation ? Ils y vont pas de main morte. C’est tout à fait le genre d’Annick de passer ainsi du coq à l’âne ; Caro ne s’en étonne pas. Il est vrai que la dérive des impôts locaux est une préoccupation partagée. Annick et Caro co-louent un logement en plein centre-ville, allée de Tourny, face à l’esplanade. Une véritable aubaine, magnifiquement située. Le loyer est naturellement en rapport, et la taxe d’habitation aussi, très au-delà des moyens respectifs de l’une ou de l’autre ; mais en partage, tout devient possible. Certes, la place est comptée, mais les deux jeunes femmes ont su se discipliner pour préserver une cohabitation agréable malgré un espace exigu. Les garçons sont les premiers à en faire les frais, interdits de séjour dans leur sanctuaire. Certains les croient lesbiennes, mais c’est faux. Annick et Caro sont copines depuis le primaire. Elles ont poursuivi leur ...
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