L'esprit de famille
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
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... m’obéisse. 26 Juin… Je l’ai fait allonger nu sur le divan. Qu’il est beau, mon gentil puceau ! Je lui demande de patienter encore un peu et de m’écouter. Je sais ce que je veux et je vais le lui dire aussi amoureusement que possible, au fur et à mesure de nos caresses. Je crois que j’ai affaire à un bon élève. Il comprend à demi-mot. Il me déshabille avec lenteur. Je n’ai pas besoin de lui expliquer qu’une petite incursion dans ma culotte serait la bienvenue. Il s’y emploie avec une dextérité qui dénote quand même une certaine habitude. Quand je suis toute nue, je lui chuchote à l’oreille tout ce que je souhaite qu’il me fasse et je lui dis par mes gémissements le plaisir que je ressens. Sa bouche et ses mains m’explorent aux endroits les plus intimes et y reviennent sans cesse sur ma demande. Si besoin était, mon entrejambe inondé lui révèle sans nul doute tout le plaisir qu’il me donne. Mais je ne veux pas qu’il aille plus loin bien que ça me coûte autant que lui. Je le fais allonger sur le dos et ce soir encore, c’est dans ma bouche que mon bel éphèbe va soulager son désir. 27 Juin… Il n’a pas oublié sa leçon d’hier. Il est d’une douceur, d’une délicatesse adorable. Je n’ai pas besoin de lui dire ce qu’il doit faire, il reprend les caresses d’hier ; il fignole : c’est un perfectionniste. Je dois parfois le calmer un peu et à d’autres moments lui demander d’insister. J’aime jouer ce rôle d’initiatrice mais j’espère qu’il ne s’en fâchera pas. Les petits mots que je susurre ...
... : doucement, plus vite, encore, mais souvent de simples soupirs sont suffisants. C’est un jeune cheval que je conduis en douceur, mais sans lâcher la bride de peur qu’il s’emballe mais un animal docile qui fait tout pour m’être agréable. Au passage, il a droit, bien sûr, à quelques récompenses. Ce soir, nous irons jusqu’au bout. Je le sens tendu comme un arc. Je crève moi aussi de désir. Je le fais mettre sur le dos, je m’assieds sur lui. Je lui dis de me laisser faire. Je saisis son sexe et le guide en moi. Je commence à m’agiter sur lui. Il essaie de soulever ses reins en cadence mais je pèse sur son bassin et il renonce à accompagner le mouvement. C’est moi qui imprime le rythme, de plus en plus vite. Je râle de plaisir de plus en plus fort mais toujours discrètement. Je ne suis pas de ces femmes qui hurlent en jouissant. Et très vite, je suis submergée par l’orgasme. Je suis à demi inconsciente. Je crois qu’il a joui entre-temps mais je n’en suis pas sûre, tant la vague qui m’emportait était violente. Je me couche sur lui et le couvre de baisers. À son air béat, je comprends qu’il a pris son plaisir en moi… et que c’était bien sa première fois. 29 Juin… Deux jours sans lui. J’ai eu peur qu’il ne revienne plus maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait. Ou bien qu’il ait trouvé quelque jeunette qui le ferait moins attendre que moi. Il est si beau, mon amant nouveau. Il doit avoir toutes les filles qu’il veut. Mais non, le revoilà. Il en redemande. Mais je ne vais pas tout le ...