1. Le Boss - Chapitre 3


    Datte: 02/03/2019, Catégories: ffh, hplusag, frousses, inconnu, Collègues / Travail train, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, ffontaine, Oral fdanus, fsodo, jouet, sm, confession,

    ... queue épaisse. La fille ne tiqua pas. Je refermai la porte derrière elle. Click. Nous étions bien entendu très à l’étroit, les corps ne pouvaient éviter de se toucher. Elle semblait réaliser maintenant seulement l’incongruité de la situation. Elle, dans son petit uniforme de serveuse, un bel homme élégant la bite à l’air, une grande brune à lunettes à l’air froid et lointain. — Écoutez, je…— Tenez. Varmois avait glissé deux billets de cinq cent euros dans sa poche. Ignorant la jeune fille, il me tourna visage face à la glace et remonta ma jupe. Mon string descendit jusqu’à mi cuisses, il cracha sur ses doigts. Je ne m’étais pas lubrifié ce jour-là mais ce fut suffisant pour que son majeur et son index réunis se frayent un chemin dans mon fondement. Je me cambrai pour lui faciliter la tâche. Il présenta son gland, l’enduisit de salive et poussa. Ma rondelle s’ouvrit docilement, et je le sentis m’emplir.« L’arrière train-train quotidien… » me dis-je, pas très fière de ma vanne. Dans le miroir, je pouvais voir Varmois qui me regardait, et la serveuse fascinée par cette bite qui fourrageait dans mon cul. Elle releva la tête, un peu perdue. Sortie de son contexte professionnel, elle n’avait plus la voix policée d’une hôtesse et un soupçon de vulgarité pointait sous un léger accent méridional. — Je comprends pas… Vous vouliez pas… C’était juste que je regarde ?— Non Mademoiselle, je suis bel et bien désireux de faire de même dans vos petites fesses. Cependant, si vous n’en avez ...
    ... pas envie, vous pouvez garder ces billets et sortir. Je ne vous en voudrai pas. C’est à vous de décider. La serveuse eut l’air décontenancé. Elle me regardait prendre les coups de boutoir et ne faisait pas mine d’ouvrir la porte. Je compris que le spectacle l’excitait. Son souffle devenait court. Décidément, Varmois était très fort. Et d’un coup elle explosa dans une bordée de trivialité qui me laissa pantoise. — Et puis merde, moi aussi je veux qu’on m’éclate le fion ! Y’a pas de raison ! Une bite pareille ça se laisse pas perdre ! Donne-moi ta queue vieux cochon ! Tu seras mieux avec moi qu’avec ton glaçon ! Un immense sourire vainqueur fendit le visage de mon patron. Il me lança un regard qui me donna envie de le gifler. J’étais sidérée. Il avait eu raison, il ne s’était pas trompé sur la petite brune. Elle avait accepté de le rejoindre, prétextant en elle-même qu’elle le faisait pour l’argent. Lorsqu’il lui avait proposé de tout garder sans contrepartie, elle avait été perdue. Mais finalement elle avait renoncé à sa pudeur et exprimé un désir réel. Étais-je, au fond, comme elle ? Varmois avait déculé et se tournait vers la petite brune. Elle s’assit sur les toilettes refermées et commença à le lécher, le suçoter, comme une affamée. J’ignorais qu’une fille puisse à ce point se lâcher sans se soucier de son image. — Pour un vieux, t’en as une belle ! Putain ça va me faire du bien, ça ! Deux fois qu’elle le traitait de vieux, du haut de ses dix-neuf ou vingt ans. Je souris ...
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