Le Boss - Chapitre 3
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
ffh,
hplusag,
frousses,
inconnu,
Collègues / Travail
train,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
ffontaine,
Oral
fdanus,
fsodo,
jouet,
sm,
confession,
... intérieurement« Prends toujours ça dans la gueule, mon… vieux ! ». Mon patron ne sembla pas s’en offusquer. Debout, il redressa la fille qui s’accrocha des deux bras autour de son cou et, après avoir remonté sa longue jupe d’uniforme, la souleva face à lui en l’attrapant sous les cuisses. Facile, cette brindille ne devait pas faire plus de quarante-cinq kilos. Il lui fit poser un pied sur la barre d’aide aux handicapés et cala l’autre dans le lavabo. Il était un mât autour duquel elle s’agrippait, jambes écartées. J’avais été obligée de passer derrière la fille. — Le beurre ?— Merde, dans ma poche ! Doit être un peu écrasé, là !— Léa, ayez l’amabilité de fouiller la poche de mademoiselle. Ensuite vous écarterez sa culotte et vous la préparerez. Je ne mis pas longtemps à retrouver la petite plaquette dans son emballage froissé. Assise à mon tour sur la cuvette refermée, j’avais le visage à hauteur du cul de la serveuse, moulé dans un tanga orange fluo. La queue de mon patron était à l’horizontale, coincée entre les jambes de la fille. Je repoussai le tissu et dégageai une chatte modérément fournie et un joli trou du cul qui, de toute évidence, avait déjà bien servi.« Toutes les filles pratiquent donc la sodomie ? Suis-je la seule à m’être si longtemps abstenue de cette pratique ? » Je déposai une noisette de beurre sur l’anus frémissant et étalai le reste sur la queue de Varmois que j’amenai dans la position idoine. La fille rapprocha son bassin de mon patron pour faciliter ...
... l’angle d’entrée, collant sa chatte contre lui, et c’est elle qui poussa pour s’empaler largement. Elle grognait. — Ah putain qu’c’est bon ! T’es un taureau toi ! Va-z-y fort, aie pas peur ! Écartèle-moi le trou d’balle mon salaud ! Ramone-moi le conduit ! Fais-le-moi à fond ! Si j’avais été un mec, je crois que ce genre de phrase m’aurait fait débander direct. Pourtant Jean-Yves Varmois ne perdait rien de sa vigueur, bien au contraire. Maintenant solidement la fille face à lui, toujours debout, il la faisait monter et descendre sur sa queue tendue, régulièrement et profondément, à quelques centimètres de mon visage. Je voyais la solide hampe de chair coulisser jusqu’aux couilles dans le petit cul, et j’éprouvais une curieuse satisfaction. Pas d’excitation ni de désir, juste… le sentiment du devoir accompli. Qu’est-ce qui me prenait ? C’était affreux, ma réaction était celle d’une fille parfaitement soumise et attentive aux désirs de son maître ! Irritée, je détournai le regard vers la vitre opalescente qui ne laissait voir de l’extérieur que des masses sombres ou lumineuses. Pourtant, là, maintenant, dans mon bain, bercée tant par le porto que par l’air du Poète Ivre de laFairy Queen de Purcell, je me masturbe en repensant à ce moment. Ma main court sur ma vulve, je tourne autour de mon petit bouton en imaginant ce que je n’ai pas fait. J’aurais pu, en penchant un peu le visage, lécher les bourses de Varmois, les prendre dans la bouche. Je n’ai pas voulu me l’avouer, mais j’en ...