1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (3)


    Datte: 17/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Elle n’eut pas à attendre longtemps la suite des évènements : je m’assis confortablement sur la chaise, lui faisant face, tandis qu’elle restait plantée sur place, un peu gauche ; je lui lançai ce qui était, sans équivoque, un ordre : « - Très bien. Maintenant, chère Madame, déshabillez-vous. — Déshabiller… comment ? — Vous vous foutez entièrement à poil ! » Et comme elle sembla hésiter un peu, déconcertée, j’ajoutai : « - Allez, vite ! » La dame baissa la tête, ne sachant trop par où commencer, très troublée manifestement. « - Vous enlevez d’abord les chaussures puis le haut. Je précise, car vous n’avez pas l’air d’avoir trop l’habitude de vous mettre nue devant un homme. J’ai l’impression que vous manquez de méthode », ajoutai-je. Elle s’exécutait, sans véritable empressement. Je lui demandai : « - Vous êtes pudique ? — Oui, un peu » répondit-elle avec un rictus nerveux. « - Je vais traiter votre pudeur. Je vais vous la faire passer. Je traite le mal par le mal. Et c’est essentiel qu’une femme se foute à poil sans discuter, sans réticence aucune, quand un homme le lui ordonne. » La sexagénaire aux cheveux châtain clair avait enlevé déjà chaussures et tricot, et pieds nus, elle déboutonnait sans hâte son pantalon de toile. Elle leva les yeux, croisa mon regard, vit que je la matais attentivement. Je lui fis un petit signe de l’index, un petit geste autoritaire assez explicite lui indiquant de descendre ce pantalon. Elle l’ôta et je lui ordonnai de le jeter sur le lit. Elle ...
    ... n’était désormais vêtue que d’un ravissant body blanc en dentelle, sans manches et à fines bretelles, qu’elle remplissait bien. Je pouvais voir ses épaules et ses bras nus, lisses et bien pleins. Son ventre était un peu replet, et ses cuisses et ses hanches un peu débordantes étaient magnifiquement mises en valeur par l’échancrure du body. Elle me regarda et allait commencer à baisser les bretelles, mais je l’arrêtai : « - Restez donc comme ça. Pour le moment. Votre body est ravissant. J’aime les body. C’est un vêtement plutôt sexy. Surtout pour une femme de votre âge. » Je me levai, m’approchai. « - Finalement » dis-je d’un ton très posé et un peu froid, « je me demande si c’est bien votre pudeur que je vais soigner, et pas plutôt votre inclination à aguicher les hommes, votre envie - consciente ou en sommeil – à susciter le désir chez les mâles… » Là encore, je me serais attendu à ce qu’elle proteste ou prenne peur, mais elle baissa les yeux, avec un air de honte, comme une gamine prise en faute. Je me demandais qui, de son côté pervers ou de son penchant pour la soumission, était le plus fort. « - Reculez » lui commandai-je, « jusqu’à la porte. » Elle obéit sans délai. Au-dessus de ma porte, une très vieille poutre est là pour montrer que le mur est porteur. Cela fait un petit moment j’y ai vissé des pitons. J’ouvris mon coffret et en sortis deux chaînes prolongées par des bracelets de cuir. Je montai sur ma chaise pour suspendre les chaînes à leurs pitons respectifs, puis ...
«1234»