1. Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (3)


    Datte: 17/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ordonnai à la dame de lever les bras et j’emprisonnai ses poignets dans les bracelets. Elle était désormais attachée, les bras en l’air et écartés en V. « - Ecartez un peu les jambes. » Elle obéit de bonne grâce. Ses joues avaient rosi, sa respiration semblait plus courte, ses yeux étaient brillants. Je vis avec plaisir que ses aisselles étaient parfaitement lisses. « Un corps bien soigné » pensais-je. Je me postai devant elle, la défiant du regard, mes yeux plantés dans les siens, bleus azur. Elle soutint deux ou trois secondes mon regard, puis elle baissa un peu la tête, fixa son regard dans un coin. Je ne la touchai toujours pas. Sa poitrine, plutôt bien développée - du C, sinon plus - remplissait bien le body. J’avais envie de soupeser tout ça. Je lui tournai autour, lentement, la flairai, approchant ma bouche et mon nez au plus près de son cou, de ses épaules, de ses bras, mais m’abstins de tout contact. Je m’arrêtai derrière elle. Elle gardait la tête droite. Je ne pus me retenir et je saisis sa nuque dans ma main, la pressai légèrement, puis la caressai du bout de mes doigts, très légèrement. Je me reculai un peu pour contempler la croupe bien épanouie. Elle devait bien faire un bon 46 voire un 48, la tante. Soudain, je saisis le bas du body et le tirai violemment vers le haut, le lui rentrant brutalement dans la raie des fesses, dégageant ses hémisphères. Surprise, elle poussa un cri. « - De bien belles fesses. Un beau cul, bien épanoui. Des fesses comme je les ...
    ... aime. Faut-il traiter votre gourmandise aussi, ma petite dame ? — Je suis un peu gourmande… » dit-elle d’une voix presque éteinte. « - Mouais… — Comment pouvez-vous traiter la gourmandise ? » s’enhardit-elle, « Vous avez un remède ? — Oui j’en ai un. Je traite le mal par le mal… Ou plutôt je punis par là où les patientes ont péché… Si votre gourmandise vous a fait des grosses fesses, je suis désolé, mais ce sont vos fesses qui vont devoir en subir les conséquences. » Et ce disant, de ma main libre, je me mis à peloter durement ces deux fesses l’une après l’autre, à les malaxer, les pincer assez fortement, tandis que ma main gauche tirait toujours le body vers le haut, lui remontant toute la raie, ainsi, je l’imaginais, que sa foune. « - Je suppose qu’il y a bien longtemps que vous n’avez pas été fessée… ? — Oui » répondit-elle, émue et d’une voix faible. — C’était quand la dernière fois ? » lui demandai-je d’une voix impérieuse. — Oh, je devais avoir… onze ou douze ans… — Je suis sûr que vous mentez… » répondis-je d’un ton très froid. « Un fessier comme le vôtre est fait pour la fessée. Et ça m’étonnerait qu’il n’y a pas eu un mari ou un amant pour vous fesser… — Non, non, je vous assure… » protesta-t-elle. — J’ai du mal à vous croire, mais admettons. Si c’est bien le cas, de toute façon, je vais réparer cette injustice. » Lâchant le bas du body, je caressai lentement ses épaules, rondes et douces, remontai mes mains sur ses bras, moelleux et satinés. C’était vraiment une belle ...