Réconfort et vieilles dentelles IV. La cliente de la pharmacie (3)
Datte: 17/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... n’est-ce pas ? — Oui je l’avoue. Je suis très curieuse, trop curieuse. On me l’a déjà dit. Ça me perdra. » répondit-elle d’une voix un peu éteinte et très émue. « - Je ne sais pas si ça vous perdra. Mais ça se paie, en tout cas. Et moi je vais vous la traiter, votre curiosité. C’est avec votre curiosité que vous m’avez cherché… eh bien vous m’avez trouvé ! » lui dis-je tout en lui détachant les poignets. J’allai m’asseoir sur la chaise et la regardant, qui n’osait pas bouger sans mon ordre, je lui intimai : « - Venez ici. Venez vous allonger à plat ventre en travers de mes genoux. » Elle s’exécuta, et s’approcha d’un air très gauche. Elle devait se retrouver dans la peau de la gamine de douze ans qu’elle avait été ; des souvenirs troublants devaient lui remonter pour la première fois. Je lui saisis le poignet pour la guider, et elle se pencha, ses gros nichons pendouillèrent, terriblement bandants, et elle s’installa inconfortablement sur le ventre, sur moi. Je l’aidai à se repositionner correctement. « - Vous pouvez poser le bout de vos doigts sur le sol ou saisir les pieds de la chaise, comme vous voulez. » Son gros cul bien blanc saillait vers le haut, et j’avais ce bel objet juste sous ma main droite. De mes deux mains je lui écartai les fesses, inspectai longuement sa petite rosette sombre enfouie tout au fond du sillon fessier. Elle était bien plissée et bien propre, dénuée de tout poil à son pourtour. « - Moi aussi, je suis curieux, ma petite dame. Et je vais tout ...
... connaître de votre anatomie. Je veux connaître parfaitement votre corps, jusqu’à la moindre parcelle de votre peau, tous les recoins. Je l’inspecterai sous toutes les coutures, sous tous ses replis, jusqu’à ce que je connaisse par cœur chaque centimètre carré de sa surface… comme chacune de vos réactions physiologiques. Hum, ce petit œillet m’a l’air bien froncé, et je suis sûr qu’il est bien serré. Il me faudra utiliser un plug… — C’est quoi un plug… ? » osa-t-elle. « - Hum, vous si curieuse, vous ne savez pas ce que c’est ? Vous saurez, ne vous impatientez pas. C’est un objet qui permettra que votre petit orifice soit aussi souple que votre chatte… — Oh… » dit-elle dans un frémissement. Je caressai doucement les beaux hémisphères épanouis. La peau était douce, parcourue de quelques frissons. « - Bon, et si pour débuter, on commençait le traitement ? Il est temps de vous administrer le remède qui va soigner votre curiosité maladive et vos penchants à tourner autour des hommes plus jeunes… surtout quand vous savez qu’ils sont médecins. On peut dire que vous êtes bien tombée, aujourd’hui, Madame. Vous n’auriez pas imaginé ce matin, en vous levant, que vous alliez vous retrouvez à poil à plat ventre sur les genoux de l’un d’eux, prête à vous faire fesser… ? » Je n’attendis pas sa réponse et la première claque tomba sur sa fesse droite. Elle était un peu sèche mais pas forte. La dame ne broncha pas. La même tomba sur la fesse gauche. Puis d’autres suivirent, visant le sommet des ...